Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Pas seulement des USA. Vu de partout, il n'y a en France que "diverses gauches".
Omnipotence de l'Etat, règlementations kafkaiennes, horreur de la réussite, administration pléthorique, taxations mortelles ...
Omnipotence de l'Etat, règlementations kafkaiennes, horreur de la réussite, administration pléthorique, taxations mortelles ...
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Le chômage constitue un potentiel de croissance. C'est un peu paradoxal, mais pas faux. Il reste plus qu'à trouver comment utiliser ce potentiel.
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Sauf que la politique de l'offre n'a pas porté ces fruits, car la demande ne suit pas. Ou alors il faut que les gens qui travaillent s'endettent pour relancer la consommation, comme aux USA le pays du bonheur.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Ben la politique de la demande ne se fait pas par l'endettement ?
Moi je crois davantage à la politique de l'offre associée au partage de la richesse, ce qui permet d'accroître simultanément la demande.
Moi je crois davantage à la politique de l'offre associée au partage de la richesse, ce qui permet d'accroître simultanément la demande.
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Pourquoi pas, ne reste plus qu'à arriver à partager la richesse.
Ce qu'il faut c'est relancer à la fois l'offre et la demande l'un ne va pas sans l'autre. Mitterrand s'est planté avec la demande, Sarko avec l'offre.
Ce qu'il faut c'est relancer à la fois l'offre et la demande l'un ne va pas sans l'autre. Mitterrand s'est planté avec la demande, Sarko avec l'offre.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Tant que tu penseras consommation intérieure comme solution, tu n'iras pas loin.Golgoth a écrit :Sauf que la politique de l'offre n'a pas porté ces fruits, car la demande ne suit pas. Ou alors il faut que les gens qui travaillent s'endettent pour relancer la consommation, comme aux USA le pays du bonheur.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
J'ai écris "intérieure" quelque part ? Faut arrêter les spéculos au shit. C'est l'ensemble de l'Europe qui est en crise, donc sauf endettement public et/ou privé la demande ne va pas grimper toute seule avec l'offre.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
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Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Exactement. Dans le modèle de société que nous avons adopté, ce qui fait tourner la roue, c'est l'endettement et le gaspillage. Il faut donc que les adeptes du serrage de ceinture acceptent que soit, on arrête le gaspillage. Mais alors il faut aussi changer de modèle de société.
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Oui, mais c'est pas facile. Il faut que les gens se sentent comblés avec moins ou avec autre-chose. Des cours de philo sur France Télévision ?
Re: Réforme de l'Etat : un rapport critique la méthode Sarkozy
Pour que le soutien à l'offre crée de la demande, il faut que les richesses supplémentaires créées par le soutien aillent vers ceux qui les consommeront sans tarder, c'est à dire vers la tranche basse des salaires (du cadre modeste au non cadre).Golgoth a écrit :Pourquoi pas, ne reste plus qu'à arriver à partager la richesse.
Ce qu'il faut c'est relancer à la fois l'offre et la demande l'un ne va pas sans l'autre. Mitterrand s'est planté avec la demande, Sarko avec l'offre.
Les heures sups défiscalisées, donc peu chères, allaient un peu dans ce sens : elles constituaient un soutien à la production et devaient générer de l'offre. Les richesses étaient distribuées en priorité aux non-cadres puisque ces heures sups ne sont pas fiscalisées. Sous-entendu, le manque à encaisser de l'état se reporte sur les revenus supérieurs (cadres supérieurs, et autres revenus du capital).
Je ne sais pas si zorro visait ce but.
Une autre solution est d'augmenter le SMIC un peu plus que le taux de croissance pendant les périodes où il y a de la croissance. Ce coup de pouce distribue de la richesse aux bas revenus. La part des revenus plus élevés s'en trouve réduite.
Par contre, il ne faut pas faire cela lorsque la croissance est faible : le risque est alors de mettre en difficultés certaines entreprises ou de freiner l'embauche.
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