Visiblement, vous êtes surpris ? :-)
Vous pensiez qu'on vendait des empires comme des caramels ?
Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
Re: Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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Re: Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
Tu penses sérieusement que c'est "l'empire" qui est vendu.
Connais-tu le nombre de startup qui sont montée dans le but d'être vendues? Connais-tu le nombre d'entreprises qui achètent ces startup dans le but de sécuriser un brevet puis, une fois qu'elles ont développé mieux, qu'elles ont des clients fidèles and co, elles revendent la société à d'autres (et prennent une bonne plus value) histoire de refaire le même système avec une startup plus neuve?
Je vis à Lille, et dans le coin des startups qui sont créées et sont vendu entre un an ou deux après, c'est... commun. Alors tu sais.
Connais-tu le nombre de startup qui sont montée dans le but d'être vendues? Connais-tu le nombre d'entreprises qui achètent ces startup dans le but de sécuriser un brevet puis, une fois qu'elles ont développé mieux, qu'elles ont des clients fidèles and co, elles revendent la société à d'autres (et prennent une bonne plus value) histoire de refaire le même système avec une startup plus neuve?
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Re: Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
Une start-up est une société à très haut risque : personne ne peut dire si elle marchera ou non. La mortalité périnatale est très importante.artragis a écrit :Tu penses sérieusement que c'est "l'empire" qui est vendu.
Connais-tu le nombre de startup qui sont montée dans le but d'être vendues? Connais-tu le nombre d'entreprises qui achètent ces startup dans le but de sécuriser un brevet puis, une fois qu'elles ont développé mieux, qu'elles ont des clients fidèles and co, elles revendent la société à d'autres (et prennent une bonne plus value) histoire de refaire le même système avec une startup plus neuve?
Je vis à Lille, et dans le coin des startups qui sont créées et sont vendu entre un an ou deux après, c'est... commun. Alors tu sais.
Donc, son créateur part de rien, et prend tous les risques. Si, après d'énormes efforts d'organisation, de mise en oeuvre, de commercialisation, l'embryon prend forme et se consolide, c'est que l'horoscope était bon.
A partir de là, le créateur peut à son gré poursuivre l'expansion, à condition qu'il dispose de capitaux nécessaires ;
Ou se trouver un partenaire friqué, mais dans ce cas il va perdre la majorité et se compliquer la vie.
Ou fusionner sa start-up avec un grand groupe intéressé : dans ce cas - fréquent - il entrera dans le capital du grand groupe au prorata de son apport évalué de commun accord, et y exercera des fonctions (administrateur actif, salarié avec royalties sur le volet d'activité qu'il a apporté, il y a mille formules.
Ou alors, il trouvera un repreneur, et passera à autre chose.
Où est le blème ? C'est l'essence même de l'activité économique.
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Re: Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
Ca change quoi au fait que bon nombre sont créés dans le but d'être vendues ! Sérieusement, lis les gens un peu.Une start-up est une société à très haut risque : personne ne peut dire si elle marchera ou non. La mortalité périnatale est très importante.
Qu'il entre dans le groupe, oui, c'est fréquent, mais souvent il sera chef de projet autour de la technologie qu'il a créé. Mais comme tu le dis, il y a mille formules. Une nouvelle fois ça n'empêche pas que son entreprise a été vendue.Ou fusionner sa start-up avec un grand groupe intéressé : dans ce cas - fréquent - il entrera dans le capital du grand groupe au prorata de son apport évalué de commun accord, et y exercera des fonctions (administrateur actif, salarié avec royalties sur le volet d'activité qu'il a apporté, il y a mille formules.
Nulle part. Je ne juge rien, je te parle de fais. Il y a BEAUCOUP d'entreprise (startup ou simplement filliales) qui sont créées dans le but d'être vendues plus tard ou bien qui sont achetées dans le but d'être vendues plus tard. Ce que je contredisais dans ton propos c'est la rareté, pas un quelconque jugement de valeur.Où est le blème ? C'est l'essence même de l'activité économique.
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Re: Plus-value de cessions d'entreprise: état d'urgence
OK.
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