A part donner quelques coups de fil et adopter un chien de luxe, ou jeter l'argent par les fenêtres sans le moindre discernement, Obama n'a encore rien foutu.
Aujourd'hui, nouvelle surprise : après avoir déblatéré Guantanamo en thème essentiel de sa campagne, voila qu'il annonce la poursuite des cours militaires, avec une "formidable révolution" : les prévenus pourront choisir leur avocat (ce qui était d'ailleurs déjà le cas dans une certaine mesure, puisque ceux-ci sont payés par le contribuable américain).
Mais après quatre mois de réflexion, il lui en faut encore autant, soit 8 mois durant lesquels même l'examen des dossiers vides est arrêté, et des innocets maintenus en détention.
Le "yes whe can" devient de plus en plus clairement le "yes oui c.." icon_biggrin
Obama, la baudruche se dégonfle.
Obama USA 2008, Rama France 2017?
Préparée par des lustres de propagande hollywoodienne et audiovisuelle sur le génie noir,
renforcée par un formidable matrage idéologique (quiconque ne bée pas d'admiration devant
Obama est...raciste),l'opération de sidération mondiale aura donc réussi.
L'Amérique encore blanche,où les Noirs ne constituent que 13% de la population
(et les Latinos 15%,s'est donné le premier président noir de son histoire et,oubliant
les massacres tribaux dont,simultanément,l'Afrique était le théâtre,la planète applaudit.
Hosanna Obama!
Et tous les apprentis-sorciers de la grande race à venir de rendre grâces,à l'instar du faux aristo
et véritable démolisseur du monde occidental Dominique de Villepin qui psalmodiait
trois jours plus tôt dans Le Journal du Dimanche:
"Il ressemble au monde nouveau.Ses origines,son parcours le portent.
Entre le Kenya,Hawaï,l'Indonésie,son expérience de travailleur social,il peut ressentir
ce que nous devenons."
Méditez bien ceci:"Ce que nous devenons..." Une humanité métissée,déculturée,déracinée,
chair à canon (ou indifféremment à consommer) idéale pour le "gouvernement mondial"
dont rêvent nos véritables maîtres depuis plus d'un demi-siècle,et qu'un Jacques Attali s'échine à promouvoir sur les innombrables estrades où le convient complices et coutisans.
Est-ce d'ailleurs un hasard si le presque anonyme Barack Husseyen Obama,inconnu
en dehors de l'Illinois dont il était sénateur après y avoir fait ses classes d'agitateur,a pu réunir
un trésor de guerre de 600 millions de dollars et une impressionnante machine de guerre
électorale,sans exemple dans les annales états-uniennes?
Est-ce un hasard si le Parti Républicain avait,lors des primaires,éliminé ses candidats
les plus valables pour ne laisser en lice que Jhon McCain,septuagénaire et cancéreux
de notoriété publique,et si, dans la dernière ligne droite,le vice-président Dick Cheney,l'homme le plus hai des Etats-Unis pour son rôle moteur dans l'invasion de l'Irak,
est venu lui apporter un soutien qui était avant tout le coup de pied de l'âne?
Comme si les néo-conservateurs constituant l'armature de l'Administration Bush
avaient voulu,en un ultime effort,favoriser la victoire du démocrate et transformer
celui-ci en obligé de ceux qui l'ont fait roi.
Fondateur d'Ecrits de Paris puis de Rivarol et très au fait des us et coutumes américaines,
René Malliavin professait que,malgré les pouvoirs théoriquement considérables accordés
par la Constitution de 1787 au locataire de la Maison-Blanche,celui-ci disposait en réalité
d'une marge de manoeuvre très réduite,celle que voulaient bien lui consentir les puissances
d'argent.
Sur un plan purement politique,économique et diplomatique,l'élection "historique"
(pour une fois,ce mot si galvaudé s'impose) d'Obama ne revêt donc qu'une importance secondaire:
sauf énorme surprise,il fera,comme l'eût fait McCain,où et comment on lui dira de faire.
D'ailleurs,n'annonce-t-on pas qu'il gardera sans doute le calamiteux Robert Gates
comme ministre de la Défense?
Il en ira tout autrement sur le plan sociétal puisque,ainsi que l'écrivait Jim Reeves
dans Rivarol du 31 octobre 2008, le métis a été scientifiquement sélectionné pour être
"le termite de la désintégration américaine",avec mission de faire disparaître tout ce qui,
outre-Atlantique,rappelle encore l'Europe helléno-chrétienne et rattache le Vieux Sud
ou le Grand Ouest à nos valeurs et à nos traditions.
Mais au-delà,c'est tout l'Occident qui va devoir se mettre à l'heure Obama.
Le Canada avait précédé le mouvement en se donnant en la personne de Michelle Jean
une gouverneure noire,native de Haïti.
Le prochain Premier ministre de l'Australie sera-t-il un Chinois,celui du Royaume-Uni
un Pakistanais et le chancelier d'Allemagne un Turc?
Après Obama triomphant en 2008 aux USA,l'Elysée écherra-t-il en 2017 à Rama(Yadé)
après la transition Sarkozy,destinée à habituer les Français à un président auquel tout ce qui
est gaulois est étranger?
C'est aux Etats-Unis que naquit dans les cercles judéo-trotskistes (reconvertis depuis dans
le néo-conservatisme) le concept d'Affirmative Action traduit par discrimination positive
en France où un ministre de l'Education nationale prétendument de droite,le citoyen Darcos,
vient de réinventer le "busing",pratique,consistant à transbahuter les élèves d'un quartier
à l'autre pour assurer dans les écoles une totale mixité raciale,imposée sous la présidence
de Lyndon B.Johnson dans les années 1960.
Pour tout ce qui est des produits "toxiques",et pas seulement bancaires,les Etats-Unis
sont depuis la fin de la 1ère mondiale le laboratoire de l'univers.
Venant après le métis anglo-jamaïcain Lewis Hamilton couronné le 2 novembre champion
du monde de Formule 1 et le métis franco-congolais Jo-Wilfried Tsonga vainqueur le même
jour du tournoi de tennis de Bercy,le métis américano--kényan (et islamo-chrétien)
Barack Hussein Obama élu le 4 novembre président de l'Hyperpuissance est la chimère
qui annonce l'hiver de notre civilisation...
Bon dimanche à tous ! icon_biggrin
Préparée par des lustres de propagande hollywoodienne et audiovisuelle sur le génie noir,
renforcée par un formidable matrage idéologique (quiconque ne bée pas d'admiration devant
Obama est...raciste),l'opération de sidération mondiale aura donc réussi.
L'Amérique encore blanche,où les Noirs ne constituent que 13% de la population
(et les Latinos 15%,s'est donné le premier président noir de son histoire et,oubliant
les massacres tribaux dont,simultanément,l'Afrique était le théâtre,la planète applaudit.
Hosanna Obama!
Et tous les apprentis-sorciers de la grande race à venir de rendre grâces,à l'instar du faux aristo
et véritable démolisseur du monde occidental Dominique de Villepin qui psalmodiait
trois jours plus tôt dans Le Journal du Dimanche:
"Il ressemble au monde nouveau.Ses origines,son parcours le portent.
Entre le Kenya,Hawaï,l'Indonésie,son expérience de travailleur social,il peut ressentir
ce que nous devenons."
Méditez bien ceci:"Ce que nous devenons..." Une humanité métissée,déculturée,déracinée,
chair à canon (ou indifféremment à consommer) idéale pour le "gouvernement mondial"
dont rêvent nos véritables maîtres depuis plus d'un demi-siècle,et qu'un Jacques Attali s'échine à promouvoir sur les innombrables estrades où le convient complices et coutisans.
Est-ce d'ailleurs un hasard si le presque anonyme Barack Husseyen Obama,inconnu
en dehors de l'Illinois dont il était sénateur après y avoir fait ses classes d'agitateur,a pu réunir
un trésor de guerre de 600 millions de dollars et une impressionnante machine de guerre
électorale,sans exemple dans les annales états-uniennes?
Est-ce un hasard si le Parti Républicain avait,lors des primaires,éliminé ses candidats
les plus valables pour ne laisser en lice que Jhon McCain,septuagénaire et cancéreux
de notoriété publique,et si, dans la dernière ligne droite,le vice-président Dick Cheney,l'homme le plus hai des Etats-Unis pour son rôle moteur dans l'invasion de l'Irak,
est venu lui apporter un soutien qui était avant tout le coup de pied de l'âne?
Comme si les néo-conservateurs constituant l'armature de l'Administration Bush
avaient voulu,en un ultime effort,favoriser la victoire du démocrate et transformer
celui-ci en obligé de ceux qui l'ont fait roi.
Fondateur d'Ecrits de Paris puis de Rivarol et très au fait des us et coutumes américaines,
René Malliavin professait que,malgré les pouvoirs théoriquement considérables accordés
par la Constitution de 1787 au locataire de la Maison-Blanche,celui-ci disposait en réalité
d'une marge de manoeuvre très réduite,celle que voulaient bien lui consentir les puissances
d'argent.
Sur un plan purement politique,économique et diplomatique,l'élection "historique"
(pour une fois,ce mot si galvaudé s'impose) d'Obama ne revêt donc qu'une importance secondaire:
sauf énorme surprise,il fera,comme l'eût fait McCain,où et comment on lui dira de faire.
D'ailleurs,n'annonce-t-on pas qu'il gardera sans doute le calamiteux Robert Gates
comme ministre de la Défense?
Il en ira tout autrement sur le plan sociétal puisque,ainsi que l'écrivait Jim Reeves
dans Rivarol du 31 octobre 2008, le métis a été scientifiquement sélectionné pour être
"le termite de la désintégration américaine",avec mission de faire disparaître tout ce qui,
outre-Atlantique,rappelle encore l'Europe helléno-chrétienne et rattache le Vieux Sud
ou le Grand Ouest à nos valeurs et à nos traditions.
Mais au-delà,c'est tout l'Occident qui va devoir se mettre à l'heure Obama.
Le Canada avait précédé le mouvement en se donnant en la personne de Michelle Jean
une gouverneure noire,native de Haïti.
Le prochain Premier ministre de l'Australie sera-t-il un Chinois,celui du Royaume-Uni
un Pakistanais et le chancelier d'Allemagne un Turc?
Après Obama triomphant en 2008 aux USA,l'Elysée écherra-t-il en 2017 à Rama(Yadé)
après la transition Sarkozy,destinée à habituer les Français à un président auquel tout ce qui
est gaulois est étranger?
C'est aux Etats-Unis que naquit dans les cercles judéo-trotskistes (reconvertis depuis dans
le néo-conservatisme) le concept d'Affirmative Action traduit par discrimination positive
en France où un ministre de l'Education nationale prétendument de droite,le citoyen Darcos,
vient de réinventer le "busing",pratique,consistant à transbahuter les élèves d'un quartier
à l'autre pour assurer dans les écoles une totale mixité raciale,imposée sous la présidence
de Lyndon B.Johnson dans les années 1960.
Pour tout ce qui est des produits "toxiques",et pas seulement bancaires,les Etats-Unis
sont depuis la fin de la 1ère mondiale le laboratoire de l'univers.
Venant après le métis anglo-jamaïcain Lewis Hamilton couronné le 2 novembre champion
du monde de Formule 1 et le métis franco-congolais Jo-Wilfried Tsonga vainqueur le même
jour du tournoi de tennis de Bercy,le métis américano--kényan (et islamo-chrétien)
Barack Hussein Obama élu le 4 novembre président de l'Hyperpuissance est la chimère
qui annonce l'hiver de notre civilisation...
Bon dimanche à tous ! icon_biggrin
"Il n'y a que les montagnes
qui ne se rencontrent pas".
qui ne se rencontrent pas".
Il est clair que les principaux lobbies (sioniste, armement, wall street) se sot choisi lamarionnette de leurs rêves :
un type difficilemennt contestable sans se faire taxer de racisme, un bluffeur paranoiaque et totalement improductif, et dont le sourrie Pepsodent (qui s'amenuise avec le temps, il faut le remarquer) est le seul titre de gloire ...
tout cela m'apparaissait déjà durant la campagne, dont j'avais dénoncé la médiocrité du casting voué à faire chosir l'électeur entre le Christ et Barabas !
Le soir de l'élection, mon seul sentiment était la pitié pour toute cette plèbe pleurant de bonheur, dans un engouemennt pathétique.
Hélas pour l'article mis en ligne, la suite n'est que bêtement raciste.
un type difficilemennt contestable sans se faire taxer de racisme, un bluffeur paranoiaque et totalement improductif, et dont le sourrie Pepsodent (qui s'amenuise avec le temps, il faut le remarquer) est le seul titre de gloire ...
tout cela m'apparaissait déjà durant la campagne, dont j'avais dénoncé la médiocrité du casting voué à faire chosir l'électeur entre le Christ et Barabas !
Le soir de l'élection, mon seul sentiment était la pitié pour toute cette plèbe pleurant de bonheur, dans un engouemennt pathétique.
Hélas pour l'article mis en ligne, la suite n'est que bêtement raciste.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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