Berlusconi : 600 000 dollars, le prix de l’omertà
[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="2" rowspan="1"][hr][/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]C'est le retour des chemises noires mais à pat ca rien de grave... Dormez tranquilles citoyens...[/td][/tr][/table]
Serais-tu cambrioleur que les vigilances de quartier te dérangent à ce point ? icon_biggrin icon_biggrin icon_biggrin
Qu'y a-t-il de "fasciste" à signaler les cas suspects à la Police.
Pour ta gouverne, le contraire - taire un délit- s'est s'en faire complice.
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Qu'y a-t-il de "fasciste" à signaler les cas suspects à la Police.
Pour ta gouverne, le contraire - taire un délit- s'est s'en faire complice.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- Bastien Vert
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Oui et c'est ce qui a amené des milliers de français à collaborer ou à laisser déporter tranquillement qui les allemands voulaient. C'est d'ailleurs ce que fait Sarkozy avec ces centres de rétention et ce que Berlusconi fait aussi.
Avoir connaissance d'un délit sans e référer, c'est s'en rendre complice, aux termes de la Loi, depuis toujours.
Les collaborateurs n'ont rien à voir, puisqu'ils dénonçaient à l'ennemi.
Les centres de rétention encore moins : outre que Sarkozy n'a rien à voir, il s'agit de protéger contre eux-mêmes, et sur rapport médical et psychiatrique des criminels compulsifs. Une mesure raisonnable qu'on retrouve en gesttion partout.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Ainsi qu'être membre de la résitance. Mon père a été arrêté et torturé par des gendarmes français pour fait de résitance, ( en réalité sur le rapport des gendarmes, il était question de terrorisme) et remis à la Gestapo, et ensuite il a eu droit à un voyage allé gratuii en wagon a bestiaux jusqu'en Pologne et un joli tatouage sur le bras.Bastien Vert a écrit :Si ca a à voir, dans la loi de l'époque être juif s'était un crime. Comme maintenant être un étranger.
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