La fin de la crise au Etat-Unis ?
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Bonjour,
Les dépenses de consommation des ménages américains ont augmenté de 0,4% en juin, légèrement au-dessus des attentes de Wall Street. Cette hausse s'explique par l'augmentation du prix de l'essence. En mai, le chiffre révisé des dépenses fait ressortir une hausse de 0,1%, alors que le chiffre préliminaire était une progression de 0,3%. Si les dépenses de consommation progressent, le revenu des ménages recule de 1,3%, après une hausse de 1,3% en mùai. Les salaires des Américains ont reculé au cours du mois de juin. Le taux d'épargne des ménages américains s'établit à 4,6% en juin, contre 6,2% en mai. D’après le Bureau du Département de Commerce, les dépenses de construction aux Etats-Unis auraient légèrement augmenté en juin 2009 de 0.3% par rapport au mois de mai, avec un chiffre annuel de 965.7 milliards de dollars contre 963.2 milliards en mai. Les dépenses dans la construction privée ont été ajustées à 643.9 milliards de dollars, soit une augmentation de 0.1% par rapport au mois de mai. Quant à la construction publique, elle s’est établie en juin à 321.7 milliards de dollars contre 318.5 milliards en mai 2009. Malgré cette légère reprise, les dépenses de construction restent dégradées de 10.2% depuis le mois de juin 2008, où elles sont estimées à 1 075,6 milliards de dollars. Alors que Barack Obama a vu dans les récents sondages poindre le doute devant son action économique, l'administration s'empresse de crier la bonne nouvelle sur tous les toits : la croissance sera de retour avant la fin de l'année ! Le conseiller économique de la Maison Blanche Lawrence Summers l'a assuré dimanche 2 août sur la chaîne NBC, tandis que le secrétaire au Trésor Timothy Geithner l'a confirmé sur ABC. Même Alan Greenspan, l'ancien président de la Fed, est apparu à la télévision pour assurer que la reprise était "très proche", mettant en avant le net ralentissement du recul de PIB au deuxième trimestre. Problème : une reprise durable dépend largement de la consommation des ménages américains, qui représente 70% de l'activité économique. Or ces dépenses ont reculé de 1,2% au deuxième trimestre, alors qu'elles progressaient au premier trimestre. Les Américains reprendront-ils rapidement leurs vieilles habitudes dépensières ? Difficile de deviner leur comportement. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
Les dépenses de consommation des ménages américains ont augmenté de 0,4% en juin, légèrement au-dessus des attentes de Wall Street. Cette hausse s'explique par l'augmentation du prix de l'essence. En mai, le chiffre révisé des dépenses fait ressortir une hausse de 0,1%, alors que le chiffre préliminaire était une progression de 0,3%. Si les dépenses de consommation progressent, le revenu des ménages recule de 1,3%, après une hausse de 1,3% en mùai. Les salaires des Américains ont reculé au cours du mois de juin. Le taux d'épargne des ménages américains s'établit à 4,6% en juin, contre 6,2% en mai. D’après le Bureau du Département de Commerce, les dépenses de construction aux Etats-Unis auraient légèrement augmenté en juin 2009 de 0.3% par rapport au mois de mai, avec un chiffre annuel de 965.7 milliards de dollars contre 963.2 milliards en mai. Les dépenses dans la construction privée ont été ajustées à 643.9 milliards de dollars, soit une augmentation de 0.1% par rapport au mois de mai. Quant à la construction publique, elle s’est établie en juin à 321.7 milliards de dollars contre 318.5 milliards en mai 2009. Malgré cette légère reprise, les dépenses de construction restent dégradées de 10.2% depuis le mois de juin 2008, où elles sont estimées à 1 075,6 milliards de dollars. Alors que Barack Obama a vu dans les récents sondages poindre le doute devant son action économique, l'administration s'empresse de crier la bonne nouvelle sur tous les toits : la croissance sera de retour avant la fin de l'année ! Le conseiller économique de la Maison Blanche Lawrence Summers l'a assuré dimanche 2 août sur la chaîne NBC, tandis que le secrétaire au Trésor Timothy Geithner l'a confirmé sur ABC. Même Alan Greenspan, l'ancien président de la Fed, est apparu à la télévision pour assurer que la reprise était "très proche", mettant en avant le net ralentissement du recul de PIB au deuxième trimestre. Problème : une reprise durable dépend largement de la consommation des ménages américains, qui représente 70% de l'activité économique. Or ces dépenses ont reculé de 1,2% au deuxième trimestre, alors qu'elles progressaient au premier trimestre. Les Américains reprendront-ils rapidement leurs vieilles habitudes dépensières ? Difficile de deviner leur comportement. Qu'en pensez vous ? A plus tard,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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Mais on espère quoi au juste ? que les Américains continuent de consommer plus qu’ils ne produisent en se surendettant ? Que tout reparte comme avant, avec les mêmes erreurs ? J’ai lu que la BNP s’apprête à distribuer des bonus faramineux à ses traders… On n’est pas encore sorti de la crise que déjà les pires comportements refont surface, c’est vraiment navrant ! Nul doute qu’on va droit dans le mur car le prochain krach sera bien pire que le dernier.
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Comme je l'ai déjà dit, cette crise ne servira pas de leçon aux capitalistes et la course au profit va repartir de plus belle, mais cette course en avant laissant de plus en plus de pauvres sur le côté se terminera forcément un jour en faisant d'énormes dégats.
On en entant plus parlé de la fin des paradis fiscaux, peut-être que nos diriogeant attendent d'y solder leurs compte avant des les supprimer, si toute fois cela arrive un jour.
On en entant plus parlé de la fin des paradis fiscaux, peut-être que nos diriogeant attendent d'y solder leurs compte avant des les supprimer, si toute fois cela arrive un jour.
La taux de chômage aux USA est de 8,1 %.
Autrement dit, pour 91,9 % des gens, rien n'a changé. Ou même plus, puisqu'il y avait évidemment des chômeurs avant la crise ...
La chute de la consommation est donc psychologique, et ne peut avoir qu'un temps.
Autrement dit, pour 91,9 % des gens, rien n'a changé. Ou même plus, puisqu'il y avait évidemment des chômeurs avant la crise ...
La chute de la consommation est donc psychologique, et ne peut avoir qu'un temps.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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là par contre tu dis des conneries... Vu la hausse des prix. Vu l'argent perdu par les gens lorsque les actions se sont effondrées.pour 91,9 % des gens, rien n'a changé.
Par contre je félicite les USA pour ceci : ils combattent enfin l'élément psycologique de la crise (qui existe bel et bien) en affirmant que le pays reprend du poil de la bête. Puissions nous suivre cet exemple.
http://zestedesavoir.com une association pour la beauté du zeste.
- wesker
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La consommation américaine ayant jusque là été soutenu par l'endettement, la crise financière a reduit assez drastiquement les possibilités de consommations.
Cela dit, les fonds injectés dans l'économie produisent effectivement leurs effets par la reprise de la consommation....Mais il convient de l'évaluer avec prudence afin de ne pas se precipiter vers des annonces intempestives car si la consommation montre des signes fragile de reprise, l'investissement restent fondamental pour la création d'emplois.
Cela dit, les fonds injectés dans l'économie produisent effectivement leurs effets par la reprise de la consommation....Mais il convient de l'évaluer avec prudence afin de ne pas se precipiter vers des annonces intempestives car si la consommation montre des signes fragile de reprise, l'investissement restent fondamental pour la création d'emplois.
Il y a aussi tous ceux qui ont perdu leur maison et qui sont en faillite. Et quant aux chômeurs, même à 8 %, c’est dramatique dans un pays où la couverture sociale est quasiment inexistante.artragis a écrit :là par contre tu dis des conneries... Vu la hausse des prix. Vu l'argent perdu par les gens lorsque les actions se sont effondrées.pour 91,9 % des gens, rien n'a changé.
Par contre je félicite les USA pour ceci : ils combattent enfin l'élément psycologique de la crise (qui existe bel et bien) en affirmant que le pays reprend du poil de la bête. Puissions nous suivre cet exemple.
La crise financière n’est pas une crise psychologique. Ce n’est pas avec de la propagande ni avec la méthode Coué qu’on la pourra la résoudre.
- wesker
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NJous sommes entièrement d'accord....C'est d'ailleurs cette réalité qui justifie lapourusite et l'approfondissement des réformes de structures que la majorité doit conduire, si nous ne voulons pas decevoir les français quiattendent de la droite des resultats en matière d'emplois et de pouvoir d'achat.
A l'occasion des européennes, elle s'est engagée à defendre l'Europe qui protège dans une zone economique au périmètre bien défini...Aujourd'hui victorieuse dans les urnes il convient qu'elle se montre courageuse et à la hauteur dans les faits.
A l'occasion des européennes, elle s'est engagée à defendre l'Europe qui protège dans une zone economique au périmètre bien défini...Aujourd'hui victorieuse dans les urnes il convient qu'elle se montre courageuse et à la hauteur dans les faits.
L'argent perdu l'a été par des fortunes spéculatives, mais pas par l'épargne. Cela ne touche donc qu'une strate étroite et nantie, qui généralement n'a pas tous es oeufs dans le même panier.là par contre tu dis des conneries... Vu la hausse des prix. Vu l'argent perdu par les gens lorsque les actions se sont effondrées.
Quant à la hausse des prix, je ne sais où tu as été la chercher ... ?
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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Dans le panier de ma mère...Quant à la hausse des prix, je ne sais où tu as été la chercher ... ?
Ai-je dit le contraire. Seulement l'effondrement boursier de certaines entreprise a tirer vers le bas les autres bourses.L'argent perdu l'a été par des fortunes spéculatives
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Pour Gis : ta mère fait ses courses aux USA ? icon_biggrin
Note qu'en Belgique, le panier de la ménagère a baissé de 3 %.
Pour Georges :
Ce n'est pas moi qui vait pleurer sur des spéculateurs qui ont perdu de l'argent; il semble tout de même normal que ceux qui sont responsable de cette crise ils laissent quelques plumes.
Le brave type qui a placé son argent en actions aurait causé la crise ? Ce sont ces gens-là, Georges, qui soutiennent l'économie, pas ceux qui râlent sur Internet.
Note qu'en Belgique, le panier de la ménagère a baissé de 3 %.
Pour Georges :
Ce n'est pas moi qui vait pleurer sur des spéculateurs qui ont perdu de l'argent; il semble tout de même normal que ceux qui sont responsable de cette crise ils laissent quelques plumes.
Le brave type qui a placé son argent en actions aurait causé la crise ? Ce sont ces gens-là, Georges, qui soutiennent l'économie, pas ceux qui râlent sur Internet.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
- artragis
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c'est pas gis mais artragis..
oh oui les paniers ont baissé... les gens ont moins acheté.
Le type qui a pris des actions, non mais celui qui les a vendu dans la peur panique qui a suivi une grosse baisse a waltstreet oui.
oh oui les paniers ont baissé... les gens ont moins acheté.
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