La suppression des allocations familiale en cas d'absentéism
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En vrac, sur les "faux mots", les licenciements en pleine journée, et tout le reste.
En Belgique, il ne suffit pas d'un "mot" : il faut soit un certificat médical, soit un appel des parents au proviseur. S'il y a trop de certificats, l'école peut à tout moment envoyer un médecin contrôleur, et ne s'en prive pas. Si c'est une justification téléphonique des parents (confirmée par un mot écrit qui reste dans le dossier de l'élève), les parents sont appelés à l'école pour une bonne conversation !
Les licenciements prématurés, (pour cause d'absence de profs généralement) envoient normalement les élèves à l'étude (non artargis, on ne parle pas d'étudiants dans le secondaire, c'est abusif). Il est toutefois possible que les parents aient délivré une autorisation permanente de sortie (loi sur la protection de la jeunesse).
Mais dans ce cas, chaque élève sortant reçoit une carte au nom de l'école, datée et numérotée, et indiquant l'heure de départ. A présenter à toute réuisition de la Police, et à ramener signée des parents le lendemain matin.
Ce n'est tout de même pas chinois, Bon Dieu !
La déliquescence de votre système est éviemment volontaire icon_evil
En Belgique, il ne suffit pas d'un "mot" : il faut soit un certificat médical, soit un appel des parents au proviseur. S'il y a trop de certificats, l'école peut à tout moment envoyer un médecin contrôleur, et ne s'en prive pas. Si c'est une justification téléphonique des parents (confirmée par un mot écrit qui reste dans le dossier de l'élève), les parents sont appelés à l'école pour une bonne conversation !
Les licenciements prématurés, (pour cause d'absence de profs généralement) envoient normalement les élèves à l'étude (non artargis, on ne parle pas d'étudiants dans le secondaire, c'est abusif). Il est toutefois possible que les parents aient délivré une autorisation permanente de sortie (loi sur la protection de la jeunesse).
Mais dans ce cas, chaque élève sortant reçoit une carte au nom de l'école, datée et numérotée, et indiquant l'heure de départ. A présenter à toute réuisition de la Police, et à ramener signée des parents le lendemain matin.
Ce n'est tout de même pas chinois, Bon Dieu !
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C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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c'est clair, j'était étudiant il y a quoi 5 ou 6 ans, on avait sans arrêt des trous dans notre emploi du temps, faut dire on avait un emploi du temps très peu chargé dans ma section vu que le gros du travail se faisait en dehors des cours dans les bouquins, et avant au lycée, mis à part en terminale où l'emploi du temps était surchargé du fait de la préparation ( abusive à mes yeux ) au bac, on avait des trous moins nombreux mais quand même des heures de perm, si on doit contrôler tous les étudiants qui sont dehors c'est purement ce que j'appelle une mesure totalitariste
et les heures de perm c'était soit chez un pote ou une copine qu'habitait pas loin des cours, soit une virée en ville si on avait au moins 2 heures de perm, soit à patienter et se détendre dans une salle de classe, à l'extérieur dans la cour, où alors au babyfoot / billard dans un bar
si les belges ont réellement mis une telle loi en place ( ce dont je doute ) ce sont vraiment des fous
et les heures de perm c'était soit chez un pote ou une copine qu'habitait pas loin des cours, soit une virée en ville si on avait au moins 2 heures de perm, soit à patienter et se détendre dans une salle de classe, à l'extérieur dans la cour, où alors au babyfoot / billard dans un bar
si les belges ont réellement mis une telle loi en place ( ce dont je doute ) ce sont vraiment des fous
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J'ai envie de devenir grossière ?
La Loi de protection de la Jeunesse présume que l'enfant est sous la garde de ses parents jusqu'à sa majorité.
Cette garde peut être déférée à une école, voire un employeur, qui est alors 100 % responsable des agissements de l'enfant.
Ces responsables par délégation ne voient leur responsabilité prendre fin qu'à la remise de l'enfant sous la garde de ses parents.
Ce n'est pas parce qu'une société à la dérive a perdu ses notions essentielles qu'elles n'en sont pas moins strictement légales.
Exemple : tu prends un mineur chez toi pour une raison quelconque. Tu as tout intérêt à établir un petit document avec lesparents, précisant s'il peut sortir, quand, etc. Et de t'y tenir.
Arrête avec ton "liberticide" à la C..
La Loi de protection de la Jeunesse présume que l'enfant est sous la garde de ses parents jusqu'à sa majorité.
Cette garde peut être déférée à une école, voire un employeur, qui est alors 100 % responsable des agissements de l'enfant.
Ces responsables par délégation ne voient leur responsabilité prendre fin qu'à la remise de l'enfant sous la garde de ses parents.
Ce n'est pas parce qu'une société à la dérive a perdu ses notions essentielles qu'elles n'en sont pas moins strictement légales.
Exemple : tu prends un mineur chez toi pour une raison quelconque. Tu as tout intérêt à établir un petit document avec lesparents, précisant s'il peut sortir, quand, etc. Et de t'y tenir.
Arrête avec ton "liberticide" à la C..
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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ça n'est pas encore passé, c'est en discussion. Et moi je pense que c'est inapplicable.mps a écrit : Hier, en Belgique, grande réunion des Ministres, Bourgmestres des communes de Bruxelles et spécialistes, sur le thème de la déliquance. Il faut dire qu'une bande de mineurs , talonnés par la Police suite à un braquage de magasin ultra violent, n'ont pashésité à tirer à la kalach sur nos policiers, en blessant un très grièvement. "Bien entendu, c'étaient une fois encore des "suédois", comme on dit chez nous !)
Huit "dossiers" sont ouverts, dont un sur l'absentéisme scolaire. La Police va contrôler systématiquement tout "jeune" se baladant en ville pendant les heures de cours (comme au bon vieux temps) et le gosse qui n'a pas sur lui un mot de ses parents justifiant sa "balade" vaudra un appel à son école pour vérification, et si la réponse n'est pas rassurante, sera emmené au poste o ses parents seront invités à venir le rechercher. A la première incartade, les parents seront mis en garde et entendu sur d'éventuels problèmes susceptibles de concerner le centre PMS (psycho-medico-social). a la seconde, ce sera une amende pour les parents ; à la troisième, l'enfant sera déféré au Juge.
Dans ce but, la Police se verra renforcée par des civils pour les tâches administratives, de manière à augmenter sérieusement les patrouilles.
Mais, mes petits amis, tout ce que je vous dit n'a rien de neuf : c'est la définition juridique même du mineur !!!
Code civil, art. 371 et s, 375 et s, 389, et s, 903 et s, 935, 993 et s., 1030 et s., 1095, 1124 et s., 1304, 1384 al. 4, 1990, 2121, 2143 et s, 2252, 2278, Code de commerce art. Article L121-2, L221-15, L222-10, L225-109, L228-35-8 L511-5, L811-2.
Jusqu'à 18 ans, l'enfant est réputé incapable, et est donc toujours sous une autorité "civilement responsable".
Sur quelle planète vivez-vous ?
Code civil, art. 371 et s, 375 et s, 389, et s, 903 et s, 935, 993 et s., 1030 et s., 1095, 1124 et s., 1304, 1384 al. 4, 1990, 2121, 2143 et s, 2252, 2278, Code de commerce art. Article L121-2, L221-15, L222-10, L225-109, L228-35-8 L511-5, L811-2.
Jusqu'à 18 ans, l'enfant est réputé incapable, et est donc toujours sous une autorité "civilement responsable".
Sur quelle planète vivez-vous ?
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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effectivement ya quand même une grosse différence entre une proposition et une loi, parce que des propositions liberticides de la part de l'extreme droite ça on en manque pas, par contre une loi qui appliquerait une telle proposition j'ai franchement des doutes que cela passe un jour, où alors on aura dans ce cas vraiment franchit un point de non retour vers un nouveau régime fasciste
on ne contrôle pas les gens sans raisons, soit on les contrôle pour des raisons fondées de sécurité ( comme à l'entrée des aéroports etc ... ) soit on les contrôle pour avoir eu un comportement suspect, mais à partir du moment où tu contrôles des personnes comme ça au hasard sans raisons aucune, en considérant que tout le monde est potentiellement un délinquant ou un suspect, on franchit vraiment un point dans la restriction des libertés et l'opression vraiment important
tu ne peux résolument pas prétexter la défense de la sécurité de la population si tu soumets cette même population à l'insécurité et la peur de se faire contrôler à tout moment et de subir la honte, le stress, le sentiment d'injustice d'opression et tout ce qui va avec d'un tel contrôle par des policiers
pour illustrer ceci, savoir qu'une patrouille depolice veille, qu'ils font des rondes etc ... ca peut offrir un sentiment de sécurité, voir des colonnes de flics partout autour de toi au contraire c'est loin de te donner un sentiment de sécurité ... il faut faire attention à ne pas tomber dans cet extrêmisme sécuritaire.
on ne contrôle pas les gens sans raisons, soit on les contrôle pour des raisons fondées de sécurité ( comme à l'entrée des aéroports etc ... ) soit on les contrôle pour avoir eu un comportement suspect, mais à partir du moment où tu contrôles des personnes comme ça au hasard sans raisons aucune, en considérant que tout le monde est potentiellement un délinquant ou un suspect, on franchit vraiment un point dans la restriction des libertés et l'opression vraiment important
tu ne peux résolument pas prétexter la défense de la sécurité de la population si tu soumets cette même population à l'insécurité et la peur de se faire contrôler à tout moment et de subir la honte, le stress, le sentiment d'injustice d'opression et tout ce qui va avec d'un tel contrôle par des policiers
pour illustrer ceci, savoir qu'une patrouille depolice veille, qu'ils font des rondes etc ... ca peut offrir un sentiment de sécurité, voir des colonnes de flics partout autour de toi au contraire c'est loin de te donner un sentiment de sécurité ... il faut faire attention à ne pas tomber dans cet extrêmisme sécuritaire.
Ce que dit Logan est parfaitement exact.
Le probleme en france est que la police est mal employée. On va mettre 15 flics par rue à Neuilly, et on va en mettre aucun en banlieue (ou alors le jour où les journalistes de TF1 passent par là. C'est pourquoi le peu qu'il y a meritent tout mon respect, car en sous effectif, ils ne peuvent pas faire grand chose.
Il est vrai aussi que de voir 50 flics dans la rue prete à confusion, entre sentiment de securité et d'insecurité.
Pour les controles, je n'ai rien contre. Je prefere voir des flics qui me controlent, que des voyous qui me depouillent. Et force est de constater que là où il y a des flics, il y a beaucoup moins de voyous.
Le probleme en france est que la police est mal employée. On va mettre 15 flics par rue à Neuilly, et on va en mettre aucun en banlieue (ou alors le jour où les journalistes de TF1 passent par là. C'est pourquoi le peu qu'il y a meritent tout mon respect, car en sous effectif, ils ne peuvent pas faire grand chose.
Il est vrai aussi que de voir 50 flics dans la rue prete à confusion, entre sentiment de securité et d'insecurité.
Pour les controles, je n'ai rien contre. Je prefere voir des flics qui me controlent, que des voyous qui me depouillent. Et force est de constater que là où il y a des flics, il y a beaucoup moins de voyous.
Maintenant que j'habite en province, je suis devenu peace and love. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ( surtout les descendants d'immigrés des cités que j'adore dorénavant )
là où il y a des flics il y a peut être plein de voyous, ils ne font juste rien devant les flics, ou alors ils sont flics eux même, tu peux pas savoir
tu accepterais donc lucifer, si on suit ton raisonnement, que comme ça, sans raison aucune, un flic vienne te faire une fouille anale pour voir si tu ne caches pas de la drogue ?
je suis certain que non
que les flics pratiquent des contrôles au hasard lors de périodes de fête et donc de danger sur les routes, pour la sécurité routière, cela peut se concevoir, ca oblige les gens à être prudents ce jour là spécifiquement et donc réduire les risques, ça peut se tolérer
par contre qu'un flic t'arrête sur la route comme ça alors que t'as rien fait juste parce qu'il avait envie de tenter sa chance parce qu'il n'a pas son quota de la journée et donc parce qu'il chasse, c'est un abus d'autorité très clairement
pour les flics j'ai fais un certain nombre de manifs où j'ai bien pu constater qu'ils n'étaient pas là pour notre sécurité mais clairement pour nous intimider vu le nombre, sans doute 2 flics pour 1 manifestant, vive la dictature sarkozyste, le pire c'était le jour du vote au congrès pour le traité de Lisbonne à Versailles, on n'a pas pu approcher à 200 m du batiment du congrès, tout était bouclé un vrai labyrinthe pour accéder à la manifestation ( donc impossible de rallier des gens au passage ), et là encore il y avait deux fois plus de flics que de manifestants, trop peu de monde étant venu ce jour là
tu accepterais donc lucifer, si on suit ton raisonnement, que comme ça, sans raison aucune, un flic vienne te faire une fouille anale pour voir si tu ne caches pas de la drogue ?
je suis certain que non
que les flics pratiquent des contrôles au hasard lors de périodes de fête et donc de danger sur les routes, pour la sécurité routière, cela peut se concevoir, ca oblige les gens à être prudents ce jour là spécifiquement et donc réduire les risques, ça peut se tolérer
par contre qu'un flic t'arrête sur la route comme ça alors que t'as rien fait juste parce qu'il avait envie de tenter sa chance parce qu'il n'a pas son quota de la journée et donc parce qu'il chasse, c'est un abus d'autorité très clairement
pour les flics j'ai fais un certain nombre de manifs où j'ai bien pu constater qu'ils n'étaient pas là pour notre sécurité mais clairement pour nous intimider vu le nombre, sans doute 2 flics pour 1 manifestant, vive la dictature sarkozyste, le pire c'était le jour du vote au congrès pour le traité de Lisbonne à Versailles, on n'a pas pu approcher à 200 m du batiment du congrès, tout était bouclé un vrai labyrinthe pour accéder à la manifestation ( donc impossible de rallier des gens au passage ), et là encore il y avait deux fois plus de flics que de manifestants, trop peu de monde étant venu ce jour là
Bonsoir,
Après ce petit interlude sur les interventions des forces de l'ordre, je reviens au sujet qui nous occupe, à savoir la suppression des allocations familiales en cas d'absentéisme.
J'ai lu un sujet qui fait état de résultats d'une étude demandée par la caisse nationale des allocations familiales. Ce compte rendu date de janvier 2003. Il s'agissait d'une enquête menée en septembre 2002 auprès de 110 caisses d'allocations familiales françaises, qui représentent 92% des familles, et portant sur l'année scolaire 2001-2002.
Il indique l'importance des "pairs", de l'école comme "agents majeurs de socialisation".. tout en disant que l'école "reproduit largement les inégalités sociales" et que finalement certains clichés ont la vie dure ! Voyez le copier/coller : "certains enseignants sont tentés de penser que certains élèves issus de milieux populaires n'attendent rien de l'école ce qui est une erreur. Un processus de rejet réciproque s'installe."
Il ajoute que le défaut de supervision des parents est directement lié à leurs handicaps sociaux (chômage, pauvreté...). "
et encore ceci .. peut-être que certains y verront une excuse mais je le mets quand même car résultats d'études de 2 chercheurs au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP) : "En fait de démission, il faudrait se demander si certains parents ont encore la possibilité d'exercer un contrôle adéquant, tant leur existence est difficile".
Evidemment, partant de là, pour eux la suppression des allocations familiales n'est pas la solution à l'absentéisme scolaire. Ils prônent donc une collaboration entre caf, Inspection académique et familles ; tout cela dans un but de prévention.
En fait au bout de tant d'absence, les familles reçoivent un courrier les menaçant de suspendre les allocations. "les CAF proposent d'utiliser les prestations familiales comme levier d'accompagnement de la fonction parentales et non de les utiliser comme sanction.
Par ailleurs l'étude montre la pauvreté des familles concernées : 4818 € de revenus moyens annuels avec 3.01 enfants. Il apparait "que le délai entre le signalement des faits et la demande de suppression des allocations est trop important". La suppression est perçue comme répressive mais "est inopérante par rapport à l'objectif qui est de permettre un retour à l'école", d'où réticence des établissements scolaires à signaler les absences.
Après ce petit interlude sur les interventions des forces de l'ordre, je reviens au sujet qui nous occupe, à savoir la suppression des allocations familiales en cas d'absentéisme.
J'ai lu un sujet qui fait état de résultats d'une étude demandée par la caisse nationale des allocations familiales. Ce compte rendu date de janvier 2003. Il s'agissait d'une enquête menée en septembre 2002 auprès de 110 caisses d'allocations familiales françaises, qui représentent 92% des familles, et portant sur l'année scolaire 2001-2002.
Il indique l'importance des "pairs", de l'école comme "agents majeurs de socialisation".. tout en disant que l'école "reproduit largement les inégalités sociales" et que finalement certains clichés ont la vie dure ! Voyez le copier/coller : "certains enseignants sont tentés de penser que certains élèves issus de milieux populaires n'attendent rien de l'école ce qui est une erreur. Un processus de rejet réciproque s'installe."
Il ajoute que le défaut de supervision des parents est directement lié à leurs handicaps sociaux (chômage, pauvreté...). "
et encore ceci .. peut-être que certains y verront une excuse mais je le mets quand même car résultats d'études de 2 chercheurs au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP) : "En fait de démission, il faudrait se demander si certains parents ont encore la possibilité d'exercer un contrôle adéquant, tant leur existence est difficile".
Evidemment, partant de là, pour eux la suppression des allocations familiales n'est pas la solution à l'absentéisme scolaire. Ils prônent donc une collaboration entre caf, Inspection académique et familles ; tout cela dans un but de prévention.
En fait au bout de tant d'absence, les familles reçoivent un courrier les menaçant de suspendre les allocations. "les CAF proposent d'utiliser les prestations familiales comme levier d'accompagnement de la fonction parentales et non de les utiliser comme sanction.
Par ailleurs l'étude montre la pauvreté des familles concernées : 4818 € de revenus moyens annuels avec 3.01 enfants. Il apparait "que le délai entre le signalement des faits et la demande de suppression des allocations est trop important". La suppression est perçue comme répressive mais "est inopérante par rapport à l'objectif qui est de permettre un retour à l'école", d'où réticence des établissements scolaires à signaler les absences.
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