La privatisation
Trollage gauchiste.racaille a écrit :On pourrait privatiser l'air que les gens respirent. Ca se fera certainement sous peu^^
TRollage gauchiste.Golgoth a écrit :On pourrait privatiser l'école, comme ça nos profs ne seraient jamais malades ou en congés maternité. Mais ça ne va pas rapporter beaucoup.
Délire gauchiste.racaille a écrit :En plus je pense que les entreprises privées sont assez contente du fait que leurs futurs salariés sont formés aux frais du contribuable
- politicien
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Bonjour,
Libéral je te demanderais d'arrêter avec ce terme "Trollage gauchiste", et cela équivaut aux autres sujets, il serait mieux que tu donne ton avis sur le sujet, merci d'avance,
Libéral je te demanderais d'arrêter avec ce terme "Trollage gauchiste", et cela équivaut aux autres sujets, il serait mieux que tu donne ton avis sur le sujet, merci d'avance,
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
Le débat ne s'arrête jamais sur Actu-Politique
Libéral a au moins raison sur un point, mes dernières interventions peuvent être assimilées à du trolling. Mais c'était plutôt fait dans l'optique de rigoler un peu plutôt que de pourrir la discussion. Je ne suis pas un troll méchant
On peut refermer la parenthèse du hors sujet si vous voulez.
On peut refermer la parenthèse du hors sujet si vous voulez.
Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. K M
- avatabanana
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Je ne vois pas le lien entre impôts et privatisation.
Les entreprise citées n'ont jamais été financées par l'impôt. Ce sont les fonctionnaires qui le sont (aussi bien d'Etat que territoriaux)
Les entreprises financées en grande partie par l'impôt sont la SNCF et la RATP mais sont-ce des entreprises ? Sont-elles bien gérées ? Sont-elles au juste coûts ? en tout cas il n'a jamais été envisagé de les privatiser (et pour cause...)
Néanmoins un exemple pour Lucifer, le domaine des télécommunications me semble avoir profité de la privatisation... Qui se rappelle encore des coûts des communication avant la privatisation/fin de monoole... Je crois qu'elles étaient hors de prix!
Je ne connais pas le statut des banques mais je serais étonné que l'on soit revenu sur les 15 mois de salaire annuel et sur les prêts préférentiels.
De même je ne crois pas que l'on soit revenu sur les tarifs privilégies des employés d'Air France ni même sur les avantages liés à l'appartenance à une entreprise de construction automobile (deux voitures par an à prix réduits)...
Donc la casse des statuts, comme le monstre du Loch Ness, beaucoup en parle peu la voit. Cela fait partie des expressions toute faite (du type "force judéo-maçonnique" j'aime bien celle-là) "mise en péril du service public" enfin ce genre de phrase destinée à ....
Ha si je me souviens d'une entreprise financée par l'impôt autre que la SNCF et la RATP, il s'agit du Crédit Lyonnais qui aurait du couler s'il avait été privé. Les impôts l'on sauvé....
Mais qui l'avait mis en péril: des fonctionnaires irresponsables et incompétents. Irresponsables car ils ont continué leurs carrières sans rendre de compte et incompétent parce qu'il n'ont pas eu le courage de résister à des ordres émanant des politiques dont ils dépendaient.
Alors le grand avantage des privatisations est de mettre les entreprises à l'abri des magouilles politiques.
Rappelons-nous le coup de génie prémonitoire du plan d'embauche des charbonnages... en 1982 (juste avant leur fermeture) qui a conduit deux ans plus tard, à l'injonction aux autres entreprise publics de reprendre ces personnels dont elles n'avait évidemment pas besoin et qui n'était pas dans leur scope de compétence. L'usager a payé sans s'en rendre compte sur la base des tarifs de ses entreprises (SNCF, RATP,(via l'impôt) ; EDF, GDF,....)
Rappelons nous aussi Elf qui a du racheter Yves St Laurent en fin de mandat de Mitterrant. Je me souviens de la tête du pauvre gars qui a du expliquer la synergie entre ses deux entreprises....
Combien d'ordres ainsi sont tombés sur les entreprises publiques émanant de politiques. Seule la privatisation les met à l'abri de ces ingérences politicardes.
Les entreprise citées n'ont jamais été financées par l'impôt. Ce sont les fonctionnaires qui le sont (aussi bien d'Etat que territoriaux)
Les entreprises financées en grande partie par l'impôt sont la SNCF et la RATP mais sont-ce des entreprises ? Sont-elles bien gérées ? Sont-elles au juste coûts ? en tout cas il n'a jamais été envisagé de les privatiser (et pour cause...)
Néanmoins un exemple pour Lucifer, le domaine des télécommunications me semble avoir profité de la privatisation... Qui se rappelle encore des coûts des communication avant la privatisation/fin de monoole... Je crois qu'elles étaient hors de prix!
Je ne connais pas le statut des banques mais je serais étonné que l'on soit revenu sur les 15 mois de salaire annuel et sur les prêts préférentiels.
De même je ne crois pas que l'on soit revenu sur les tarifs privilégies des employés d'Air France ni même sur les avantages liés à l'appartenance à une entreprise de construction automobile (deux voitures par an à prix réduits)...
Donc la casse des statuts, comme le monstre du Loch Ness, beaucoup en parle peu la voit. Cela fait partie des expressions toute faite (du type "force judéo-maçonnique" j'aime bien celle-là) "mise en péril du service public" enfin ce genre de phrase destinée à ....
Ha si je me souviens d'une entreprise financée par l'impôt autre que la SNCF et la RATP, il s'agit du Crédit Lyonnais qui aurait du couler s'il avait été privé. Les impôts l'on sauvé....
Mais qui l'avait mis en péril: des fonctionnaires irresponsables et incompétents. Irresponsables car ils ont continué leurs carrières sans rendre de compte et incompétent parce qu'il n'ont pas eu le courage de résister à des ordres émanant des politiques dont ils dépendaient.
Alors le grand avantage des privatisations est de mettre les entreprises à l'abri des magouilles politiques.
Rappelons-nous le coup de génie prémonitoire du plan d'embauche des charbonnages... en 1982 (juste avant leur fermeture) qui a conduit deux ans plus tard, à l'injonction aux autres entreprise publics de reprendre ces personnels dont elles n'avait évidemment pas besoin et qui n'était pas dans leur scope de compétence. L'usager a payé sans s'en rendre compte sur la base des tarifs de ses entreprises (SNCF, RATP,(via l'impôt) ; EDF, GDF,....)
Rappelons nous aussi Elf qui a du racheter Yves St Laurent en fin de mandat de Mitterrant. Je me souviens de la tête du pauvre gars qui a du expliquer la synergie entre ses deux entreprises....
Combien d'ordres ainsi sont tombés sur les entreprises publiques émanant de politiques. Seule la privatisation les met à l'abri de ces ingérences politicardes.
Ce n'est évidemment pas un haut fait d'armes pour le PS de l'époque, je crois que tout le monde en convient.Ha si je me souviens d'une entreprise financée par l'impôt autre que la SNCF et la RATP, il s'agit du Crédit Lyonnais qui aurait du couler s'il avait été privé. Les impôts l'on sauvé....
On peut opposer à cela, le cout faramineux de la crise qui nous secoue et les nombreuses faillites que l'état à évité. (plein de petits crédits lyonnais).
La leçon, c'est qu'avec la gauche, c'est des petites magouilles et avec la droite de grosses magouilles bien plus couteuses car elle aussi vole au secours (et à grande échelle) de ses amis en difficulté.
De manière générale, les entreprises sont financées par leurs actionnaires et par les banques, qui reçoivent en contrepartie des dividendes et des intérêts. Le chiffre d'affaire (la recette) est payé par les clients, et parfois quelques aides et subventions. Les entreprises paient leurs créanciers (salariés, fournisseurs, sécurité sociale et autres caisses de retraites et d'assurances, divers impôts et taxes) et si elles font des bénéfices l'IS.avatabanana a écrit :Je ne vois pas le lien entre impôts et privatisation.
Les entreprise citées n'ont jamais été financées par l'impôt. Ce sont les fonctionnaires qui le sont (aussi bien d'Etat que territoriaux)
Les entreprises financées en grande partie par l'impôt sont la SNCF et la RATP mais sont-ce des entreprises ? Sont-elles bien gérées ? Sont-elles au juste coûts ? en tout cas il n'a jamais été envisagé de les privatiser (et pour cause...)
Néanmoins un exemple pour Lucifer, le domaine des télécommunications me semble avoir profité de la privatisation... Qui se rappelle encore des coûts des communication avant la privatisation/fin de monoole... Je crois qu'elles étaient hors de prix!
Je ne connais pas le statut des banques mais je serais étonné que l'on soit revenu sur les 15 mois de salaire annuel et sur les prêts préférentiels.
De même je ne crois pas que l'on soit revenu sur les tarifs privilégies des employés d'Air France ni même sur les avantages liés à l'appartenance à une entreprise de construction automobile (deux voitures par an à prix réduits)...
Donc la casse des statuts, comme le monstre du Loch Ness, beaucoup en parle peu la voit. Cela fait partie des expressions toute faite (du type "force judéo-maçonnique" j'aime bien celle-là) "mise en péril du service public" enfin ce genre de phrase destinée à ....
Ha si je me souviens d'une entreprise financée par l'impôt autre que la SNCF et la RATP, il s'agit du Crédit Lyonnais qui aurait du couler s'il avait été privé. Les impôts l'on sauvé....
Mais qui l'avait mis en péril: des fonctionnaires irresponsables et incompétents. Irresponsables car ils ont continué leurs carrières sans rendre de compte et incompétent parce qu'il n'ont pas eu le courage de résister à des ordres émanant des politiques dont ils dépendaient.
Alors le grand avantage des privatisations est de mettre les entreprises à l'abri des magouilles politiques.
Rappelons-nous le coup de génie prémonitoire du plan d'embauche des charbonnages... en 1982 (juste avant leur fermeture) qui a conduit deux ans plus tard, à l'injonction aux autres entreprise publics de reprendre ces personnels dont elles n'avait évidemment pas besoin et qui n'était pas dans leur scope de compétence. L'usager a payé sans s'en rendre compte sur la base des tarifs de ses entreprises (SNCF, RATP,(via l'impôt) ; EDF, GDF,....)
Rappelons nous aussi Elf qui a du racheter Yves St Laurent en fin de mandat de Mitterrant. Je me souviens de la tête du pauvre gars qui a du expliquer la synergie entre ses deux entreprises....
Combien d'ordres ainsi sont tombés sur les entreprises publiques émanant de politiques. Seule la privatisation les met à l'abri de ces ingérences politicardes.
Il est largement faux d'écrire que l'état finance les entreprises. Il y a des entreprises qui reçoivent des subventions et aides, c'est là de l'incitation à l'activité sur le territoire nationale, et une pratique trop généralisée en France où l'état se mêle de tout; l'état ferait mieux de se gérer convenablement et de baisser les prélèvements obligatoires à des taux plus raisonnables que de redistribuer des subventions (ou plus souvent des allègements de charges et impôts), celà serait meilleur pour la compétition et la compétitivité.
Il y a les éternels SNCF et RATP qui ont reçu et reçoivent des dotations aux entreprises publiques, tout celà parce qu'on ne veut pas faire payer aux "usagers" (aux clients en fait) le véritable coût de ces services publics. Celà se discute, ce n'est pas une pratique exclusivement française. Le problème de ces deux entreprises est que ce sont des fiefs cégétistes ingouvernables, rien de nouveau.
Le temps des nationalisations salvatrices est terminé, l'industrie (ou plutôt ce qu'il en reste) est retournée à son état d'avant 1981 voire même avant 1958 et tant mieux.
- Nombrilist
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Procès d'intentions. Le commentaire dépité "ce qu'il en reste" résume le fond de ma pensée. Le SMIC, la retraite à 60 ans, la taxe pro, les 5 semaines de CP, la TGAP et les textes environnementaux à surenchères tuent progressevement notre industrie et l'emploi qui va avec. L'insdustrie , je connais, j'y travaille depuis 25 ans maintenant ... Les fermetures depuis deux ans n'ont été que des décisions accélérées dûes à la crise, mais étaient sans doute dans la tendance. Tu me vois fort désolé de cette situation, mais de manière générale j'y peux peu. Les français ont ce qu'ils méritent.Nombrilist a écrit :Une quantité phénoménale d'industries françaises a fermé définitivement en 2 ans, et tu trouves que c'est tant mieux ? Pourquoi donc ?
- Nombrilist
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Sans doute considères tu qu'avec 30H/semaine , la retraite à 55 ans et plus d'impôts et en particulier d'écotaxes, l'industrie se devéloperait à vive allure ?Nombrilist a écrit :Oki. Je ne vais pas commenter, vu que je prendrais plutôt le contrepied et que tu qualifierais cela d'hérésie. Donc ça ne servirait à rien. Merci d'avoir pris la peine d'expliquer.
- Nombrilist
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Le développement de l'industrie tient avant tout à ses débouchés plus qu'à ses finances.
Le problème de l'emploi n'est pas un problème d'offre mais bien un problème de demande. Plus tu plongeras de gens dans la pauvreté moins t'auras de consommateurs de tes produits.
Alors si les ecotaxes les impots la retraite ou les 30h / semaine contribuent à permettre aux gens de multiplier leurs besoins ou d'augmenter leur pouvoir d'achat cela ne peut qu'être bon pour l'industrie au contraire.
Bien évidement si tu dis ça je me doute que c'est parce que tu fais référence à la guerre économique la compétitivité tout ça, je pense que tu te trompes totalement, d'abord survenons aux besoins de notre population avant de penser à exporter, ça serait plus intelligent
Le problème de l'emploi n'est pas un problème d'offre mais bien un problème de demande. Plus tu plongeras de gens dans la pauvreté moins t'auras de consommateurs de tes produits.
Alors si les ecotaxes les impots la retraite ou les 30h / semaine contribuent à permettre aux gens de multiplier leurs besoins ou d'augmenter leur pouvoir d'achat cela ne peut qu'être bon pour l'industrie au contraire.
Bien évidement si tu dis ça je me doute que c'est parce que tu fais référence à la guerre économique la compétitivité tout ça, je pense que tu te trompes totalement, d'abord survenons aux besoins de notre population avant de penser à exporter, ça serait plus intelligent
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