La constitution pour protéger des déficits budgétaires
La constitution pour protéger des déficits budgétaires
Face à la crise des dettes publiques, après le sauvetage de la Grèce surendettée, les grands pays d'Europe annoncent l'un après l'autre leurs intentions pour maîtriser leur dette.
La France a d'abord annoncé le gel des dépenses publiques "en valeur", on en arrive à modifier la constitution. Pas quand même comme l'Allemagne, qui interdit carrément les déficits publics dans la constitution pour 2016. Mais avec plusieurs points qui constituent d'importantes victoires pour les partisans d'une saine gestion dans lesquels je m'inscris :
* Seule la loi de finance pourra modifier la fiscalité. Finies les niches fiscales et taxes en tous genres pour financer des lois spécifiques ! Tout ce qui touche à la fiscalité sera inscrit dans le processus budgétaire, annuel.
* Les gouvernements devront s'engager, en début de quinquennat, sur les déficits publics du quinquennat. Finies les dérives budgétaires en cours de mandat, pour favoriser telle ou telle catégorie en vue de la prochaine élection ! On sera obligés de respecter les engagements.
* Le parlement votera sur les engagements en matière de finances publiques que nous prenons face à l'Europe. Parce que, pour stabiliser l'euro, il a été décidé que les finances publiques seraient validées par les instances européennes dans leurs grandes lignes. Le parlement se prononcera avant les pays de la zone euro.
* Les transferts vers les collectivités territoriales seront gelés en valeur, comme les dépenses de l'État. A quoi servirait-il de maîtriser les dépenses de l'État mais pas celles des autres collectivités, dont les dépenses augmentent régulièrement ?
Ces mesures peuvent sembler relever du bon sens, de la gestion dite "de père de famille". Mais on vient de tellement loin, on a tellement pensé que la dette publique était un puits sans fond, qu'en fait c'est une révolution, une révolution nécessaire.
C'est le conseil constitutionnel qui vérifiera le respect de ces règles, et notamment que les déficits en fin de mandat sont bien ceux sur lesquels le gouvernement s'est engagé au début.
Ça, c'est quand même mieux que de constitutionnaliser un principe de précaution fumeux !
http://politique-blog.over-blog.fr/arti ... 38246.html
Face à la crise des dettes publiques, après le sauvetage de la Grèce surendettée, les grands pays d'Europe annoncent l'un après l'autre leurs intentions pour maîtriser leur dette.
La France a d'abord annoncé le gel des dépenses publiques "en valeur", on en arrive à modifier la constitution. Pas quand même comme l'Allemagne, qui interdit carrément les déficits publics dans la constitution pour 2016. Mais avec plusieurs points qui constituent d'importantes victoires pour les partisans d'une saine gestion dans lesquels je m'inscris :
* Seule la loi de finance pourra modifier la fiscalité. Finies les niches fiscales et taxes en tous genres pour financer des lois spécifiques ! Tout ce qui touche à la fiscalité sera inscrit dans le processus budgétaire, annuel.
* Les gouvernements devront s'engager, en début de quinquennat, sur les déficits publics du quinquennat. Finies les dérives budgétaires en cours de mandat, pour favoriser telle ou telle catégorie en vue de la prochaine élection ! On sera obligés de respecter les engagements.
* Le parlement votera sur les engagements en matière de finances publiques que nous prenons face à l'Europe. Parce que, pour stabiliser l'euro, il a été décidé que les finances publiques seraient validées par les instances européennes dans leurs grandes lignes. Le parlement se prononcera avant les pays de la zone euro.
* Les transferts vers les collectivités territoriales seront gelés en valeur, comme les dépenses de l'État. A quoi servirait-il de maîtriser les dépenses de l'État mais pas celles des autres collectivités, dont les dépenses augmentent régulièrement ?
Ces mesures peuvent sembler relever du bon sens, de la gestion dite "de père de famille". Mais on vient de tellement loin, on a tellement pensé que la dette publique était un puits sans fond, qu'en fait c'est une révolution, une révolution nécessaire.
C'est le conseil constitutionnel qui vérifiera le respect de ces règles, et notamment que les déficits en fin de mandat sont bien ceux sur lesquels le gouvernement s'est engagé au début.
Ça, c'est quand même mieux que de constitutionnaliser un principe de précaution fumeux !
http://politique-blog.over-blog.fr/arti ... 38246.html
Dans une discussion, le difficile, ce n'est pas de défendre son opinion, c'est de la connaître.
André Maurois
André Maurois
Les déficits sont un outil indispensable pour l'état vu qu'ils lui permettent d'assurer la continuité de l'état, de ses administrations, de ses services, malgré la conjucture économique ou malgré les divers évènements qui peuvent arriver ( catastrophes naturelles, crises diverses, guerres )
S'interdire les déficits est d'une rare bétise idéologique.
S'interdire les déficits est d'une rare bétise idéologique.
Huit jour de ligne Internet défectueuse (merci le service public !), et je refais surface, à croire que les sottises de Logan me manquaient icon_biggrin
Parce qu'imaginer qu'on puisse passer en déficit à chaque incident pervers, cela revient à dire qu'on délire d'optimisme, et qu'on pourra rembourser "puisqu'il n'y aura plus de tempêtes, de tremblements de terre, etc" ... Bref, c'est se lancer dans l'effet boule de neige des tuiles successives, et repoussant les sacrifices à la génération suivante.
Le budget de l'Etat et des Collectivités est assezénormes et polymorphes pour que, le cas échéant, on suspende des prestations non-prioritaires, plutôt que de sa lajouer cossu quand on n'en a pas les moyens.
Parce qu'imaginer qu'on puisse passer en déficit à chaque incident pervers, cela revient à dire qu'on délire d'optimisme, et qu'on pourra rembourser "puisqu'il n'y aura plus de tempêtes, de tremblements de terre, etc" ... Bref, c'est se lancer dans l'effet boule de neige des tuiles successives, et repoussant les sacrifices à la génération suivante.
Le budget de l'Etat et des Collectivités est assezénormes et polymorphes pour que, le cas échéant, on suspende des prestations non-prioritaires, plutôt que de sa lajouer cossu quand on n'en a pas les moyens.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Nous sommes l'un des pays les plus riches au monde, on produit 1900 milliards d'euros par an, et 3500 milliards d'euros sont épargnés et ne servent à rien, sauf à la finance pour spéculer.
On a largement de quoi financer le fonctionnement de notre état, de combler les déficits et de financer nos retraites à 60 ans.
Et oui je préfère qu'en cas d'imprévu, de mauvaise conjoncture ou quoi que ce soit du genre la continuité de l'état soit assurée.
Je préfère en effet que nos enfants continuent d'être éduqués, je préfère que nos malades continuent d'être soignés, je préfère que la police continue de nous protéger, si des tas de gens sont touchés par une crise économique et licenciés, oui je préfère qu'ils touchent une assurance chomage plutôt que de les voir à la rue le lendemain
Je trouve invraisemblable que l'on ose mettre au dessus de toutes ces choses essentielles des considérations comptables, c'est vraiment avoir perdu toute humanité
Et tout cela n'est pas en cause dans l'endettement du pays
Comme le prouve la crise actuelle, ce sont les politiques économiques qui ont mis en place les structures financières ainsi que les pratiques financière par la suite qui ont causé la crise financière, ce sont les politiques des gouvernements qui ont choisit de sauver les banques sans contrepartie plutôt que de protéger l'économie et les gens, qui sont à l'origine de la crise économique qui fait a fait explosé le chomage ces 2 dernières années et donc les dépenses sociales.
Qui pourrait accuser Sarkozy d'avoir fait des folies dans les dépenses sociales pour expliquer les records de déficit du budget de l'état qu'il vient de battre avec son 138 milliards d'euros de déficit.
Par contre oui on peut le critiquer sur ses dépenses fiscales, car mine de rien il a contribué à 30% par ses dépenses fiscales à faire chuter les recettes de l'état au niveau où elles étaient en 2000, ou encore si on les compare au PIB au niveau de 1979 !!!
C'est sur que quand on ampute l'état de ses recettes sans toucher aux dépenses forcément l'état s'endette.
Il n'y a pas à suspendre quoi que ce soit, de l'argent il y en a bien plus qu'il n'en faut dans ce pays, faut juste avoir le courage politique d'aller le chercher là où il est.
Quand nous serons au pouvoir le rééquilibrage du budget sera rapide ^^
Nous supprimerons aussi les mécanismes d'endettement en séparant le financement de l'état, des marchés financiers.
On a largement de quoi financer le fonctionnement de notre état, de combler les déficits et de financer nos retraites à 60 ans.
Et oui je préfère qu'en cas d'imprévu, de mauvaise conjoncture ou quoi que ce soit du genre la continuité de l'état soit assurée.
Je préfère en effet que nos enfants continuent d'être éduqués, je préfère que nos malades continuent d'être soignés, je préfère que la police continue de nous protéger, si des tas de gens sont touchés par une crise économique et licenciés, oui je préfère qu'ils touchent une assurance chomage plutôt que de les voir à la rue le lendemain
Je trouve invraisemblable que l'on ose mettre au dessus de toutes ces choses essentielles des considérations comptables, c'est vraiment avoir perdu toute humanité
Et tout cela n'est pas en cause dans l'endettement du pays
Comme le prouve la crise actuelle, ce sont les politiques économiques qui ont mis en place les structures financières ainsi que les pratiques financière par la suite qui ont causé la crise financière, ce sont les politiques des gouvernements qui ont choisit de sauver les banques sans contrepartie plutôt que de protéger l'économie et les gens, qui sont à l'origine de la crise économique qui fait a fait explosé le chomage ces 2 dernières années et donc les dépenses sociales.
Qui pourrait accuser Sarkozy d'avoir fait des folies dans les dépenses sociales pour expliquer les records de déficit du budget de l'état qu'il vient de battre avec son 138 milliards d'euros de déficit.
Par contre oui on peut le critiquer sur ses dépenses fiscales, car mine de rien il a contribué à 30% par ses dépenses fiscales à faire chuter les recettes de l'état au niveau où elles étaient en 2000, ou encore si on les compare au PIB au niveau de 1979 !!!
C'est sur que quand on ampute l'état de ses recettes sans toucher aux dépenses forcément l'état s'endette.
Il n'y a pas à suspendre quoi que ce soit, de l'argent il y en a bien plus qu'il n'en faut dans ce pays, faut juste avoir le courage politique d'aller le chercher là où il est.
Quand nous serons au pouvoir le rééquilibrage du budget sera rapide ^^
Nous supprimerons aussi les mécanismes d'endettement en séparant le financement de l'état, des marchés financiers.
tiens une explication de Serge Halimi qui explique bien la politique des "caisses vides" que nous vivons aujourd'hui
d'un côté on endette le pays on met l'état en situation de rare déficit ( en l'occurence ici pour sauver le système financier ) et de l'autre on s'en sert comme prétexte pour justifier les politiques de démentellement de l'état et de régressions sociales que la droite défend depuis 30 ans sans succès
http://www.dailymotion.com/video/xdidtd ... ovidentiel…
d'un côté on endette le pays on met l'état en situation de rare déficit ( en l'occurence ici pour sauver le système financier ) et de l'autre on s'en sert comme prétexte pour justifier les politiques de démentellement de l'état et de régressions sociales que la droite défend depuis 30 ans sans succès
http://www.dailymotion.com/video/xdidtd ... ovidentiel…
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[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="1" rowspan="1" width="100%"][/td][td colspan="1" rowspan="1" valign="top"] [/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]Nous sommes l'un des pays les plus riches au monde, on produit 1900 milliards d'euros par an, et 3500 milliards d'euros sont épargnés et ne servent à rien[/td][/tr][/table]
Voilà où ton riasonnement se casse la figure !
Tu parles de 3.500 milliards d'euros épargnés "qui ne serviraient à rien" !!!
Sans vérifier tes chiffres, je te demande simplement où sont ces euros "inutiles" ? Sous un matelas ?
Et bien non, évidemment ! Ils sont dans les impôts, dans les entreprises, dans la construction, bref, ce sont ces milliards qui font vivre tout le pays.
Retire-les, et tu as ... un Zimbabwé !
Voilà où ton riasonnement se casse la figure !
Tu parles de 3.500 milliards d'euros épargnés "qui ne serviraient à rien" !!!
Sans vérifier tes chiffres, je te demande simplement où sont ces euros "inutiles" ? Sous un matelas ?
Et bien non, évidemment ! Ils sont dans les impôts, dans les entreprises, dans la construction, bref, ce sont ces milliards qui font vivre tout le pays.
Retire-les, et tu as ... un Zimbabwé !
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
Ravi de te lire a nouveau Mps, j'avoue que tes débats agités avec Logan (oups ! , j'ai failli écrire "ébats" ... ) me manquaient. C'est surement une vision un peu égoïste d'un forum, mais que veux tu ... j'vais pas me refaire à mon age.mps a écrit : Huit jour de ligne Internet défectueuse (merci le service public !), et je refais surface, à croire que les sottises de Logan me manquaient icon_biggrin
Parce qu'imaginer qu'on puisse passer en déficit à chaque incident pervers, cela revient à dire qu'on délire d'optimisme, et qu'on pourra rembourser "puisqu'il n'y aura plus de tempêtes, de tremblements de terre, etc" ... Bref, c'est se lancer dans l'effet boule de neige des tuiles successives, et repoussant les sacrifices à la génération suivante.
Le budget de l'Etat et des Collectivités est assezénormes et polymorphes pour que, le cas échéant, on suspende des prestations non-prioritaires, plutôt que de sa lajouer cossu quand on n'en a pas les moyens.
Aie ... pour la panne (tu as surement un opérateur privé ?), c'est moche quand cela arrive.
On pourrait par la constitution entériner la volonté de la droite de ne plus creuser le déficit. Après tout, ils veulent l'imposer, alors qu'ils adoptent ce merveilleux principe, car pour le creusement, il faut bien reconnaitre que ce sont les meilleurs.Golgoth a écrit : Je propose qu'on interdise la droite dans la constitution, tant qu'on y est.
Depuis le 1er choc pétrolier (1973), aucun Gvt de droite n'a réussi une politique de relance, ils sont trop nuls.
Si on fait la somme de leurs compétences ... il faut avouer que le résultat devrait les pousser à plus de retenue.
Oui une partie va dans les impots et c'est justement bien pour ça que j'en parle icimps a écrit :[table cellpadding="0" cellspacing="0" border="0" width="100%"][tr][td colspan="1" rowspan="1" width="100%"][/td][td colspan="1" rowspan="1" valign="top"] [/td][/tr][tr][td colspan="2" rowspan="1"]Nous sommes l'un des pays les plus riches au monde, on produit 1900 milliards d'euros par an, et 3500 milliards d'euros sont épargnés et ne servent à rien[/td][/tr][/table]
Voilà où ton riasonnement se casse la figure !
Tu parles de 3.500 milliards d'euros épargnés "qui ne serviraient à rien" !!!
Sans vérifier tes chiffres, je te demande simplement où sont ces euros "inutiles" ? Sous un matelas ?
Et bien non, évidemment ! Ils sont dans les impôts, dans les entreprises, dans la construction, bref, ce sont ces milliards qui font vivre tout le pays.
Retire-les, et tu as ... un Zimbabwé !
Histoire de comparer les recettes de l'état sont de 285 milliards d'euros en 2009 et elles étaient de 381 milliards en 2008 on a donc encore de la marge
Sinon la majeure partie est stockée dans des placements immobiliers ( je n'ai trouvé que les pourcentages dsl )
La 2nde majeure partie est stockée sur les comptes bancaires ( environ 1450 milliards d'euros chaque année ) à engranger des intérêts minables comme le livret A
Et tout faible ensuite il y a les investissements productifs
Donc pardon pour mon exagération, j'aurais du dire, qui ne servent "quasiment à rien" ça aurait été plus précis
Chaque année par exemple pour les ménages seulement c'est en moyenne 15% de leur revenu qui est épargné, 8% va dans les placements immobiliers, 6% va dans les placements financiers ( comptes bancaires ) et 1% va dans l'investissement.
Donc l'idée ca serait justement de prendre un peu plus pour les impôts tu vois dans tout ça, admettons qu'on prenne ces fameux 138 milliards d'euros répartis sur les placements immobiliers et les placements financiers, cela n'aurait aucune incidence sur l'économie, cela aurait juste une incidence sur la redistribution des richesses
Non, mon opérateur a été très aimable et a fait tout ce qu'il pouvait. Mais c'était un problème de ligne, géré en monopole par l'opérateur public : aucun service de dépannage du vendredi midi au lundi matin, puis mise au rôle des clients martyrs, et plusieurs jours avant que ne se pointe un (charmant) technicien qui en a eu pour deux minutes à bidouiller un truc dans sa cabine, un peu plus loin dans la rue !Aie ... pour la panne (tu as surement un opérateur privé ?), c'est moche quand cela arrive.
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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Belgacom n'est pas public, mais a été privatisé en 1994. Depuis cette date, les gens embauchés ne sont plus des fonctionnaires et la boîte est gérée en tant qu'entreprise privée.
"mon opérateur a été très aimable et a fait tout ce qu'il pouvait."
C'est simple: ton opérateur n'en branle pas une, car il ne maîtrise rien et se fait de la thune comme un parasite sur le dos du réseau de Belgacom, que vous, belges, avez payé à 100%. Dès qu'il a un problème, il est obligé de faire appel à eux. Donc, le temps qu'il appelle, et que Belgacom détecte d'où vient la panne et la répare, c'est normal que ça prenne du temps. Huit jours, t'as de la chance, ça s'est bien passé. En France, ça peut facilement prendre 3 à 6 semaines si on est chez un opérateur autre que FT. Si t'es chez FT, le problème peut être réglé en un jour ou deux.
"mon opérateur a été très aimable et a fait tout ce qu'il pouvait."
C'est simple: ton opérateur n'en branle pas une, car il ne maîtrise rien et se fait de la thune comme un parasite sur le dos du réseau de Belgacom, que vous, belges, avez payé à 100%. Dès qu'il a un problème, il est obligé de faire appel à eux. Donc, le temps qu'il appelle, et que Belgacom détecte d'où vient la panne et la répare, c'est normal que ça prenne du temps. Huit jours, t'as de la chance, ça s'est bien passé. En France, ça peut facilement prendre 3 à 6 semaines si on est chez un opérateur autre que FT. Si t'es chez FT, le problème peut être réglé en un jour ou deux.
Sinon la majeure partie est stockée dans des placements immobiliers ( je n'ai trouvé que les pourcentages dsl )
Le placement immobilier, c'est une véritable vache à lait pour l'Etat (TVA, Revenu Cadastral cumulé avec lesrevenus professionnels, précompte immoibilier), mais aussi un perpétuel gros pourvoyeur de main d'oeuvre (couvreurs, plombiers, châssis, carrelages, plafonneurs, peintres, etc etc y trouvent du travail à ne pous savoir où donner de la tête).
La 2nde majeure partie est stockée sur les comptes bancaires ( environ 1450 milliards d'euros chaque année ) à engranger des intérêts minables comme le livret A
Oui, mais cet argent ne reste pas dansun grand frigo-tirer-lire. C'est lui qui soutient les prêts hpothécaires, les crédits de caisse, les financements long terme, bref, tout ce qui fait tourner l'économie.
Et tout faible ensuite il y a les investissements productifs
La seule différence avec les placements d'épargne est que les investtissements sont un peu plous risqués, et rapportent éventuellement plus quand tout va bien.
C'est une autre conception des "placements", tout aussi utile.
Donc pardon pour mon exagération, j'aurais du dire, qui ne servent "quasiment à rien" ça aurait été plus précis
Pas d'épargne, pas de placements avec ou sans risques, et tout simplement pas d'économie ! Retire ton "quasiment à rien" et remplace-le pas "vital", tu seras dans le bon. Pourquoi c rois-tu que tous nos pays fassent la P.... pour attirer des capitaux étrangers ? Parce que notre formidable épargne est elle-même insuffisante à faire tourner la machine.
Chaque année par exemple pour les ménages seulement c'est en moyenne 15% de leur revenu qui est épargné, 8% va dans les placements immobiliers, 6% va dans les placements financiers ( comptes bancaires ) et 1% va dans l'investissement.
Que tu investisses dans de l'immobilier, un carnet d'épargne, une action Citroen ou un fonds asiatique, c'est toujours de 'linvestissement.
Donc l'idée ca serait justement de prendre un peu plus pour les impôts tu vois dans tout ça, admettons qu'on prenne ces fameux 138 milliards d'euros répartis sur les placements immobiliers et les placements financiers, cela n'aurait aucune incidence sur l'économie, cela aurait juste une incidence sur la redistribution des richesses
Tu es le Douanier Rousseau de l'économie, le champion de l'art naïf !
Placements immobiliers : si tu augmentes leurs taxes, tu auras vite un pays où tout l'immobilier appartient à des sociétés étrangères, quine paieront plus rien, sauf éventuellement le précompte'. Et si le précompte est trop élevé, tu n'auras plus rien. Or, un immobilier qui ne vaut rien fait éventuellement lajoie des quatters pendant quelques années ou quelques mois, puis il se détériore, et il n'y a plus personne pour payer son entretien. Des ruines ...
Si tu augmentes encore les prélèvements sur capitaux ou revenus, le scénario sera exactement le même.
Tu crois que quelqu'un qui a turbiné toute sa vie pour engranger des noisettes va se faire voler au coin d'un bois ?
Le placement immobilier, c'est une véritable vache à lait pour l'Etat (TVA, Revenu Cadastral cumulé avec lesrevenus professionnels, précompte immoibilier), mais aussi un perpétuel gros pourvoyeur de main d'oeuvre (couvreurs, plombiers, châssis, carrelages, plafonneurs, peintres, etc etc y trouvent du travail à ne pous savoir où donner de la tête).
La 2nde majeure partie est stockée sur les comptes bancaires ( environ 1450 milliards d'euros chaque année ) à engranger des intérêts minables comme le livret A
Oui, mais cet argent ne reste pas dansun grand frigo-tirer-lire. C'est lui qui soutient les prêts hpothécaires, les crédits de caisse, les financements long terme, bref, tout ce qui fait tourner l'économie.
Et tout faible ensuite il y a les investissements productifs
La seule différence avec les placements d'épargne est que les investtissements sont un peu plous risqués, et rapportent éventuellement plus quand tout va bien.
C'est une autre conception des "placements", tout aussi utile.
Donc pardon pour mon exagération, j'aurais du dire, qui ne servent "quasiment à rien" ça aurait été plus précis
Pas d'épargne, pas de placements avec ou sans risques, et tout simplement pas d'économie ! Retire ton "quasiment à rien" et remplace-le pas "vital", tu seras dans le bon. Pourquoi c rois-tu que tous nos pays fassent la P.... pour attirer des capitaux étrangers ? Parce que notre formidable épargne est elle-même insuffisante à faire tourner la machine.
Chaque année par exemple pour les ménages seulement c'est en moyenne 15% de leur revenu qui est épargné, 8% va dans les placements immobiliers, 6% va dans les placements financiers ( comptes bancaires ) et 1% va dans l'investissement.
Que tu investisses dans de l'immobilier, un carnet d'épargne, une action Citroen ou un fonds asiatique, c'est toujours de 'linvestissement.
Donc l'idée ca serait justement de prendre un peu plus pour les impôts tu vois dans tout ça, admettons qu'on prenne ces fameux 138 milliards d'euros répartis sur les placements immobiliers et les placements financiers, cela n'aurait aucune incidence sur l'économie, cela aurait juste une incidence sur la redistribution des richesses
Tu es le Douanier Rousseau de l'économie, le champion de l'art naïf !
Placements immobiliers : si tu augmentes leurs taxes, tu auras vite un pays où tout l'immobilier appartient à des sociétés étrangères, quine paieront plus rien, sauf éventuellement le précompte'. Et si le précompte est trop élevé, tu n'auras plus rien. Or, un immobilier qui ne vaut rien fait éventuellement lajoie des quatters pendant quelques années ou quelques mois, puis il se détériore, et il n'y a plus personne pour payer son entretien. Des ruines ...
Si tu augmentes encore les prélèvements sur capitaux ou revenus, le scénario sera exactement le même.
Tu crois que quelqu'un qui a turbiné toute sa vie pour engranger des noisettes va se faire voler au coin d'un bois ?
C'est quand on a raison qu'il est difficile de prouver qu'on n'a pas tort. (Pierre Dac)
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