Ce qui va augmenter au 1er juillet 2010

[mps]

Je ne suis pas plus Sarkozyste qu'en faveur d'un autre président étranger.  Je suis plutôt contr ceux qui ne foutent rien, lancent des critiques idiotes à jet continu, dans un délire qu'on e trouve qu'en France : vous n'aimez pas sa montre, son restaurant, ses vacances, sa femme, son fils, ses ministres, ses moyens de transport, son jogging,  ses sourires, ses moments de mauvaise humeur, ses  succès, ses échecs, ses difficultés, ses efforts ... Vous ne vivez plus qu'en embuscade, ne vous nourrissez plus qe de critiques quotidiennes, vous lui reprochez d'être présent,  d'être absent, d'avoir joué l'ouverture, bref, su sa marque de dentifrice ne fait pas encore débat, c'est certainement  un oubli !

J'ai donc essayé de vous sortir de ce comportement imbécile et télécommandé par une opposition plus fertile en rumeurs, attaques ad  hominem, et contrevérités qu'en arguments.
Mais autant essayer de vous retirer votre os.

J'ai fait une faute : celle de croire que des appels à un minimum d'objectivité, de lucidité, allait vous sortir de ce bad trip perpétuel dans lequel vous vous vautrez.
Maintenant, je constate mon erreur : on ne modifie pas ce qui est génétique.

[arthur]

Sansdieu !!! j'étais loin de me rendre compte, Madame, à quel point telle insignifiance, telle médiocrité, telle.... petitesse, puisse susciter... tels commentaires si élogieux, que l'on frise là abjecte indécence !!!  madame mps, vous m'en voyez céans... sans voix !!! je ne puis en effet que rester muet face à telle inconséquence, à telles billevesées... alors qu'il suffirait, y avez-vous donc songé l'espace d'un seul instant ? qu'un tel pou élyséen, d'un seul coup de savate salutaire, l'on pourrait l'écraser, l'écrabouiller... tel une vieille me.........

[politicien]

Bonjour,

Arthur, je vois depuis hier sur tes messages, que tu prends un peu à partie Mps, j'aimerais plutôt que tu prennes part au débat, ici chacun a le droit à un avis, qu'on soit d'accord avec ou non.
Merci de respecter cela.

[wesker]

mps...Tu as raison...Et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle, je préfère, pour ma part, critiquert sa politique desastreuse et les choix économiques qui me paraissent desastreux plutôt que de m'adonner à la critique systèmatique, comme le fait la pretendu opposition qui préfère nier les réalités plutôt que d'avoir à les affronter !

[mps]

C'est déjà un progrès par rapport à la critique-colifichets habituelle.

Moi, je critique peu, non pas discipline béate, mais par expérience.

Vu de son fauteuil, on peut penser qu'un guide de montagne fait des détours, alors que si on est sur le terrain,  on comprend pourquoi.

Le seul exercice honnête est d'avaluer une situation,  de voir quelle réponse  lui est apportée par le gouvernement, et si on ne comprend pas pourquoi, de ses demandeer à quels paramètres correspond la décision. 

C'est évidemment moins fun que de dire qu'ils sont tous pourris icon_biggrin

[Nombrilist]

"C'est évidemment moins fun que de dire qu'ils sont tous pourris"

Non, juste la droite, soit environ 50%.

[mps]

Hum, raconte-moi la virginité de la gauche ... icon_biggrin

Il y a une bonne dizaine d'affaires juteuses en cours.

Mais là, omerta !

Avant hier, au Sénat, un député a commencé par "je ne parlerai pas de ... (je n'ai pas retenu), parce que nous ne surfons pas sur les scandales, nous" ...  Toute la gauche, sauf Jac Lang et deux ou trois types corrects, a quitté l'hémyccle icon_biggrin

[Léa]

Avant hier, au Sénat, un député a commencé par "je ne parlerai pas de ... (je n'ai pas retenu), parce que nous ne surfons pas sur les scandales, nous" ...  Toute la gauche, sauf Jac Lang et deux ou trois types corrects, a quitté l'hémyccle

Il s'agit de François Baroin, à l'Assemblée Nationale

"Ne faites pas le jeu de l'extrême droite !" (Baroin au PS)
 Alors, je vous en conjure, au nom d'une certaine idée que nous avons en partage de la démocratie, de la République, ne faites pas le jeu de l'extrême droite !" lance en conclusion le ministre du Budget, avant de se rasseoir. À peine ce dernier a-t-il rejoint son siège que les députés de l'opposition font l'inverse. Quasiment tous se lèvent - à l'exception notoire de Jack Lang - et quittent l'hémicycle en signe de désapprobation. "C'est une honte !" entend-on des rangs de la gauche.

[Nombrilist]

Jack Lang est passé à droite depuis 4 ou 5 ans déjà. Il a voté pour la constitution et a ruiné la campagne de S. Royal. Jack Lang fut un grand homme, mais il est temps qu'il se retire.

Concernant le départ des députés de l'hémicycle, bah. Que veux-tu répondre à quelqu'un qui raconte n'importe quoi pour t'enfumer ?

[mps]

Il n'y a pas que JackLang qui soit resté.  5 ou 6 "gauchistes" sérieux et responsables, très gênés des pitreries de leurs congénères.  Parce qu'ava t  cette sortie, qui a rendu un peu de sérieux aux débats, la gauche avait offert un festival de grimaces, de papotages, de chahut transofrmant la haute Assemblée en un ramassis de débiles mentaux.

Belle image de la France pour cette émission retransmise bien au-delà de l'Hexagone.

[Nombrilist]

C'est qui les autres ?

[Georges]

Non, ce n'est pas une escroquerie, mais la résultante de "contrats-programmes" fixant les prix sur ceus du pétrole, et exigé par les pays fournisseurs.
Bon, le pétrole diminue, et le gaz va donc suivre.

C'est vrai j'avais oublié que les gouvernants étaient à la botte des financiers.

[mps]

Nombrilist, je connais leurs têtes, mais par leurs noms.

Tu ne connais pas non plous tous les sénateurs et députés belges icon_confused

[Nombrilist]

Un autre qui est resté, c'est Julien Dray. Même jugement de ma part à son encontre, puisqu'il est Sarko-compatible. Bon, Jean Glavany est aussi resté et il est vraiment de gauche.

[El Fredo]

J'émets quelques réserves quant à la présumé sarko-compatibilité de Dray. D'ailleurs il dénonce le traitement "spécial" que lui réserve AFP à chacune de ses dépêches :

http://juliendray.blogspot.com/2010/07/lettre-lafp.html

Madame, Monsieur,


Depuis plusieurs mois, et plus précisément depuis ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Dray », je constate avec systématicité un traitement particulier de l’Agence France Presse à mon égard.


Ce traitement consiste, quand je m’exprime dans les médias à propos du gouvernement ou de personnalités de la droite, à publier des dépêches dont le titre laisse à penser que je soutiens l’actuelle majorité, alors même que ce n’est pas le sens de mon intervention, et que le corps de la dépêche lui-même vient souvent rectifier le titre.


On peut à la rigueur imaginer, si ce n’est comprendre, que le format de la dépêche et les usages actuels de la presse poussent à choisir des titres-choc, et à simplifier, voire à scénariser l’information. Mais ce qui n’est ni compréhensible, ni acceptable, c’est que l’on en vienne à me faire dire l’inverse de ce que j’ai réellement dit, soit en déformant mes propos, soit en sélectionnant quelques phrases soigneusement coupées de leur texte pour modifier le sens général de mon intervention.


En novembre dernier, vous me faisiez ainsi « vole[r] au secours de Charles Pasqua », quand je demandais seulement la levée du secret défense pour voir clair dans son procès. En juin, toujours selon vous, je « défends » Brice Hortefeux, quand je déclare en vérité qu’il a tenu des propos inacceptables. Et cette semaine enfin, à vous lire, je « comprend la souffrance de Woerth » - titre d’une dépêche faisant le compte-rendu d’une émission durant laquelle j’ai effectivement tenu ces propos, mais également dénoncé les fautes politiques de l’intéressé, comme vous le rappelez d’ailleurs vous-mêmes dans le texte de ladite dépêche. Or vous n’êtes pas sans savoir que ce qui marque, ce qui reste, c’est le titre, plus que le contenu.


Si cet incident était isolé, on pourrait encore le mettre sur le compte d’une attention ou d’une mémoire sélectives, mais la régularité du procédé me conduit à m’interroger sur son intentionnalité. Ces dépêches, mises bout à bout, ne viseraient-elles pas en fait à bâtir un scénario, celui de je ne sais quelle collusion ou amitié avec le pouvoir en place ?


Je vous demande simplement de faire en sorte que les dépêches me concernant cessent, par leur titre, de tordre mes propos jusqu’à leur faire dire l’inverse de ma pensée


Je vous serai donc reconnaissant, à présent, de faire en sorte que les dépêches me concernant n’aient plus un titre qui torde mes propos jusqu’à leur faire dire l’inverse de ma pensée.


Julien Dray