tes paroles sont perdues, car pour Albert, le PS n'est pas de gauche et que pour cette raison il faudrait qu'il disparaisse. J'ai résumé grossièrement bien sûr.
et surtout @Yakiv ne me prends pas à parti, je suis ici en temps que messager
tes paroles sont perdues, car pour Albert, le PS n'est pas de gauche et que pour cette raison il faudrait qu'il disparaisse. J'ai résumé grossièrement bien sûr.
Bien sûr,Jeff Van Planet a écrit : ↑26 août 2018, 16:58:31tes paroles sont perdues, car pour Albert, le PS n'est pas de gauche et que pour cette raison il faudrait qu'il disparaisse. J'ai résumé grossièrement bien sûr.
et surtout @Yakiv ne me prends pas à parti, je suis ici en temps que messager
EELV et Générations ne pèsent pas grand chose, par contre, la place est restreinte du fait de l'espace que prend LREM et le repositionnement et le poids nouveau que représente la FI.albert a écrit : ↑26 août 2018, 17:17:30On peut se remettre d'une débâcle électorale. Mais à condition d'avoir un projet, des convictions, une volonté politique. Le PS n'a plus rien de tout ça depuis très longtemps. Quant à son espace politique, il me semble très réduit entre LREM, EELV, LFI et Generation-s. La gauche n'est pas morte, elle est éternelle. Mais les partis sont mortels et la gauche n'a pas besoin du PS pour exister.
Où as tu vu que les militants d'un parti étaient en charge de la définition de la ligne ou du projet ? N'es tu pas un peu idéaliste ?Yakiv a écrit : ↑27 août 2018, 08:44:18De toute façon, ce sont les militants du PS qui définissent la ligne du PS. Si le PS n'est actuellement pas euro-sceptique, c'est que les militants ne le sont pas non plus.
D'autre part, on sait quel était le poids de la ligne socialiste euro-sceptique qu'incarnait le MRC, à peine quelques pourcents, le parti à son heure de gloire (présidentielles de 2002) n'était pas parvenu à dépasser 6%. Alors certes, la personnification du parti dans ce pays fait qu'il est difficile de dire si c'était parce que ses idéaux n'étaient pas partagés par la population ou bien faute d'incarnation par un homme (bien que Chevénement n'était pas forcément mauvais sur ce point).
Parmi les nonistes du PS, il y avait quand même une majorité de partisans d'une Europe sociale qui ont répondu non au projet européen de constitution libérale.albert a écrit : ↑27 août 2018, 09:11:33Le MRC n'était pas le seul à représenter la gauche eurosceptique, à l'époque il y avait des nonistes au sein du PS, mais beaucoup ont quitté le parti en 2008 avec Mélenchon après la ratification du traité de Lisbonne. Malgré ces départs de nonistes, Montebourg avait fait 17% à la primaire de 2011 avec un programme anti-mondialisation.
Chevènement a plus ou moins arrêté la politique il y a 3 ans.johanono a écrit : ↑27 août 2018, 09:38:36Mais ça devient assez déprimant. Le PS est donc un parti majoritairement européiste. Chez Hamon, ils sont européistes également. Donc si vous êtes de gauche et euro-sceptique (ce qui est intellectuellement cohérent), vous avez donc le choix entre Chevènement, désormais vieillissant et très isolé politiquement, et Mélenchon, très médiatique mais excessif et caricatural.
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