Evidemment.
Mais bon, là on parle de gens sur qui s'exerce une pression morale.
Alors si on dit que les filles qui sont influencées par les remarques sexistes sont des cruches, que les minorités qui souffrent des insultes ou de discriminations ne sont que des faibles, que les homosexuels qui tiennent compte de toutes les insultes qu'on leur balance à la tête sont des chétifs, du coup on pourra conclure qu'il n'y a plus aucun problème de ce genre...
Ben c'est-à-dire que ce n'est pas "mon histoire", que je ne suis pas le seul à le remarquer et que cela a été très bien expliqué par la ministre d'ailleurs.
Maintenant, il est clair que ceux qui ne veulent pas comprendre, ne comprennent pas.