Si on refuse d'accueillir les hauts qualifiés qui veulent travailler en France, du coup il n'y aurait pas d'appel d'air.
Ça veut bien dire qu'il y en a un à l'origine.
Si on refuse d'accueillir les hauts qualifiés qui veulent travailler en France, du coup il n'y aurait pas d'appel d'air.
Il n'y a pas que les hauts qualifiés qui manquent en France ...
Vision racialiste du monde ... Sais tu qu'il y a un bon paquet de sénégalais, maliens, ivoiriens, camerounais dans les meilleures grandes écoles françaises ( Polytechnique, Centrale, les ENS, ...) ? Ils ne posent guère de problèmes d'éducation, beaucoup moins que nos banlieusards qui ne sont pas tous originaires du Maghreb ou du Sahel !johanono a écrit : ↑21 juin 2019, 08:43:21Le problème, c'est qu'on a déjà beaucoup de mal à éduquer correctement les Français et à changer leurs mentalités, alors si, en plus, on doit éduquer les Africains et changer leurs mentalités, pour permettre leur développement économique, on n'a pas fini...Papibilou a écrit : ↑20 juin 2019, 10:33:09Mais l'éducation des filles est effectivement un moyen capital.signora a écrit : ↑19 juin 2019, 19:51:42@PapibilouBon courage à celui qui interpellera les africains en ce sens ... Reste l'éducation des filles ...Ce problème doit donc trouver d'autres modes de résolution même si les quotas peuvent être un faible palliatif.
Le premier problème à régler me semble être la limitation des naissances. Une limitation provoquerait un enrichissement des pays et limiterait fortement les migrations. Les pays riches doivent donc proposer un deal aux pays africains.
Il faut bien trouver des solutions même si elles ce sont de faibles mesures chacune ...
° émettre l'idée de freiner les naissances ...
° éduquer les petites filles ...
° conditionner l'aide au développement ...
° aider à ce développement (formation) ...
° accorder aux jeunes étudiants de venir étudier en France, mais exiger qu'ils rentrent ensuite dans leur pays.
° mettre en place des quotas !
Le problème est qu'en matière d'éducation, les filles reçoivent la portion congrue et que lorsque vous voyez des classes africaines avec 80 élèves ( parce que le rythme de formation des maîtres n'est pas suffisant par rapport à la natalité), l'éducation reste sommaire. Il me semble qu'il faudrait une bonne carotte pour ces pays. Du type subventions si le niveau de scolarisation des filles atteint un pourcentage de 90% par exemple.
Nous sommes d'accord, priorité à la France et aux français.johanono a écrit : ↑21 juin 2019, 23:16:16Je réagis aux commentaires qui disent qu'il faudrait faire des campagnes d'éducation en Afrique pour, notamment, contrôler les naissances. Je fais juste remarquer qu'on a déjà du mal à gérer tous nos problèmes sociaux chez nous, alors ce n'est pas pour s'occuper des problèmes internes des autres pays.
Ce raisonnement est absurde.johanono a écrit : ↑21 juin 2019, 23:16:16Je réagis aux commentaires qui disent qu'il faudrait faire des campagnes d'éducation en Afrique pour, notamment, contrôler les naissances. Je fais juste remarquer qu'on a déjà du mal à gérer tous nos problèmes sociaux chez nous, alors ce n'est pas pour s'occuper des problèmes internes des autres pays.
Dans la vie, il y a une différence entre donner un coup de main à son voisin, et lui dicter ce qu'il doit faire dans sa propre maison.johanono a écrit : ↑22 juin 2019, 00:09:21Je vois plutôt de l'arrogance de l'argument de ceux qui croient que les Occidentaux peuvent aider les Africains à se développer économiquement. En gros, les Africains sont des enfants que nous devons, nous Occidentaux, prendre par la main pour les aider. C'est prétentieux, arrogant, condescendant...
Cela me fait penser à l'état d'esprit de ceux qui ont justifié la colonisation au 19e siècle au nom d'une supposée mission civilisatrice : on va coloniser ces indigènes pour les civiliser...
Mon état d'esprit relève au contraire d'une forme d'humilité : si les Africains doivent accéder au développement économique, ils ne pourront le faire que par eux-mêmes, ce ne sont pas les Occidentaux qui pourront les aider, parce que le développement économique relève de considérations anthropologiques endogènes sur lesquelles un intervenant extérieur ne peut agir.
Je ne confonds riend u tout. Quand quelqu'un demande un visa on vérifie certaines choses et on lui donne ou pas. Ca c'est actuellement et pour les migrants en tous genre. Economique inclus. Dans ces certaines choses vérifiées il n'y a pas le niveau de diplômes. Cette mesure vise à inclure le niveau de diplôme comme raison d'acceptation ou non. Aucuns appel d'aire là dedans, c'est juste le filtre d'acceptation des visas qui change.Spartiate a écrit : ↑20 juin 2019, 23:34:39Vous confondez le demandeur d'asile et le migrant économique. Et le migrant économique, c'est autant celui qui ne trouve pas d'emploi (le prolo pour caricaturer) que celui qui pourrait en trouver un mais inférieur à ses standards de salaire (le cerveau).
Ceux qui obtiennent un titre de séjour ont bien souvent vocation à rester dans le pays, sauf s'ils commettent un crime (et encore).
Et, surtout, plus de migrants économiques autorisés à venir sur le sol français, SANS ACCORD PREALABLE !!!Je ne confonds riend u tout. Quand quelqu'un demande un visa on vérifie certaines choses et on lui donne ou pas. Ca c'est actuellement et pour les migrants en tous genre. Economique inclus. Dans ces certaines choses vérifiées il n'y a pas le niveau de diplômes. Cette mesure vise à inclure le niveau de diplôme comme raison d'acceptation ou non. Aucuns appel d'aire là dedans, c'est juste le filtre d'acceptation des visas qui change.
Je vais peut être dire une bêtise, mais je ne suis pas sûr que les accords préalables et le filtre marchent ensemble.signora a écrit : ↑22 juin 2019, 09:42:09@Jeff Van Planet
Et, surtout, plus de migrants économiques autorisés à venir sur le sol français, SANS ACCORD PREALABLE !!!Je ne confonds riend u tout. Quand quelqu'un demande un visa on vérifie certaines choses et on lui donne ou pas. Ca c'est actuellement et pour les migrants en tous genre. Economique inclus. Dans ces certaines choses vérifiées il n'y a pas le niveau de diplômes. Cette mesure vise à inclure le niveau de diplôme comme raison d'acceptation ou non. Aucuns appel d'aire là dedans, c'est juste le filtre d'acceptation des visas qui change.
(ben t'as vu il se passe rien MDR)
Il me semble, que c'est ainsi que les canadiens font, tu fais une demande, depuis ton lieu d'habitation, elle est instruite, acceptée ou refusée,Je vais peut être dire une bêtise, mais je ne suis pas sûr que les accords préalables et le filtre marchent ensemble.
Ah, mais moi pareil, recherches et accueil à partir des emplois à pourvoir, quels qu'ils soient !Mais pour recentrer sur le sujet: oui avant d'arriver ils seront filtrés par rapport au diplômes sans appel d'aires. Mais personnellement je ne ferais pas de filtres simplement sur les diplômes. Je ferais sur les mains-d'oeuvres qu'il manque. Même si c'est simplement des aides soignantes ou des boulangers: si on en manque on peut en laisser rentrer.
Mais encore une fois si on ne le fait pas, ça ne m'empêchera pas de dormir.
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