Boris Johnson Premier Ministre, en avant vers le Brexit

[Jeff Van Planet]

Papibilou

S'ils avaient voté en faveur du "remain", poserions nous ces questions ? Je ne le pense pas, nous considérerions qu'ils adhèrent à toutes les orientations de l'Union Européenne, nous affirmerions qu'ils ont voté démocratiquement et qu'ils doivent être respecté, pourquoi refuser l'idée qu'ils ne veulent pas rester au sein de l'Union Européenne ? Pourquoi continuer à prétendre qu'il n'y a pas d'alternative à l'appartenance à cette architecture fédérale, alors qu'ils refusèrent la monnaie unique et que leur économie ne fut pas pénalisée pour autant ?

La question n'est pas de savoir s'ils veulent rester ou pas mais de savoir si c'est un Brexit dur ou avec accord. Et sur ce point on ne leur a pas posé la question. Mais si vous avez la réponse .. dur ou pas ???

Dans le pire des cas, il aurait fallut que madame May propose l'accord par référendum. Même si je ne suis pas adepte de ce genre de pratiques, au moins ils auraient put trancher et on aurait la réponse cette question existentielle: "hard brexit or not hard brexit, that, is the question"

[wesker]

Il n'y a pas à chercher midi à 14h....Soit les européennes consentent à un accord de séparation de l'Angleterre avec l'Union Européenne et recherche, avec elle les compromis possible soit on s'y refuse,, par idéologie et on s'égare dans des sempiternelles négociations, revendications qui finissent par paralyser le processus, c'est ce qui s'est passée avec May et c'est que se doit de refuser Johnson.

Ce n'est pas une question de dur ou de pas dur, c'est une question qu'ils doivent désormais partir et que l'Union Européenne doit l'accepter et négocier des relations futures entre elle et l'Angleterre

[Nolimits]

Les Etats-Unis proposent au Royaume-Uni un accord commercial pour le 1er novembre
L'accord pourrait ainsi être effectif au lendemain de la sortie prévue du Royaume-Uni de l'Union européenne.

Un « deal » entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis serait proche, à en croire un haut responsable de l'administration Trump. Selon lui, Londres et Washington discutent d'un accord commercial partiel qui pourrait prendre effet dès le 1er novembre, au lendemain de la sortie prévue du Royaume-Uni de l'Union européenne.

ICI
Là, ca va être bien mieux pour les english qui devaient se sentir trop oppressés avec l'Europe...
(je fais totalement confiance au géant américain pour œuvrer pour le confort du nain anglais)

[wesker]

L'avenir du monde est il d'être vassal d'un ou de l'autre des grandes puissances ?

Quelle que soit les réponses à cette question, il est hautement probable que l'Angleterre fasse la démonstration qui est parfaitement possible de conclure des accords commerciaux tout en étant libre et indépendant de ses partenaires européens !

[Jeff Van Planet]

Il n'y a pas à chercher midi à 14h....Soit les européennes consentent à un accord de séparation de l'Angleterre avec l'Union Européenne et recherche, avec elle les compromis possible soit on s'y refuse,, par idéologie et on s'égare dans des sempiternelles négociations, revendications qui finissent par paralyser le processus, c'est ce qui s'est passée avec May et c'est que se doit de refuser Johnson.

Ce n'est pas une question de dur ou de pas dur, c'est une question qu'ils doivent désormais partir et que l'Union Européenne doit l'accepter et négocier des relations futures entre elle et l'Angleterre

Ceux qui ont bloqué, ce ne sont pas les européens (nous) mais bien eux. May a négocié plusieurs accords, les a proposé au parlement local, et c'est les grands bretons qui ont toujours dit non. Jamais les nous, les Européens.

[Papibilou]

Il n'y a pas à chercher midi à 14h....Soit les européennes consentent à un accord de séparation de l'Angleterre avec l'Union Européenne et recherche, avec elle les compromis possible soit on s'y refuse,, par idéologie et on s'égare dans des sempiternelles négociations, revendications qui finissent par paralyser le processus, c'est ce qui s'est passée avec May et c'est que se doit de refuser Johnson.

Ce n'est pas une question de dur ou de pas dur, c'est une question qu'ils doivent désormais partir et que l'Union Européenne doit l'accepter et négocier des relations futures entre elle et l'Angleterre

L'UE a fait ses propositions et n'a jamais laissé entendre qu'elle voulait que le RU reste dans l'Europe.
Le RU a, jusqu'ici voulu le beurre l'argent du butter et le c. de la crémière. Sortir de l'UE et ne pas avoir de frontière avec l'UE en Irlande. L'UE a justement refusé.
Johnson veut le pouvoir pour longtemps et fait semblant de laisser croire qu'il fait tout pour s'entendre avec l'UE mais que ce sont les Européens qui ne veulent pas d'accord.
Moralité: il y aura Brexit sans accord. Et Trump va essayer avec un accord commercial de faire du RU un satellite des USA.

[wesker]

Papibilou

Nous sommes d'accord, je tiens à rappeler qu'il faut se souvenir des responsables politiques qui furent favorables à l'adhésion du Royaume Uni à l'Union européenne.

Concernant le fait de devenir un satellite, tu n'ignores tout de même pas les proximités geostratégiques entre Angleterre et Etats Unis.

[Nolimits]

Concernant le fait de devenir un satellite, tu n'ignores tout de même pas les proximités geostratégiques entre Angleterre et Etats Unis.

Tout à fait : l'un est vassal de l'autre. Grand bien leur fasse.

[wesker]

Entre la Russie, la Chine et les Etats Unis, il semble que chacun soit incité à se positionner, l'Europe n'existe pas sur ces questions, avec une large majorité de pays qui se disent ouvertement atlantiste, d'autres qui expriment des réserves et d'autres qui ont renoncé à un positionnement équilibré qui avait pourtant fait leur fierté, leur crédibilité.

[politicien]

Brexit : la décision de Boris Johnson de suspendre le Parlement devant les tribunaux

Plusieurs initiatives judiciaires ont été prises face à la décision du premier ministre britannique de suspendre le Parlement jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines avant la date du Brexit.

La décision du premier ministre Boris Johnson de suspendre le Parlement jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines seulement avant la date du Brexit, a déclenché une vague d'indignation au Royaume-Uni. Les opposants à un Brexit dur n'ont d'ailleurs pas tardé à lancer dès ce jeudi une bataille judiciaire contre cette décision.

"Il n'y a pas d'exemple dans l'histoire moderne où la suspension a été utilisée de cette façon", a dénoncé Gina Miller, une femme d'affaires et militante anti-Brexit qui a engagé un recours devant la justice anglaise. "Elle est manifestement utilisée (...) pour empêcher le Parlement de légiférer contre une absence d'accord", a-t-elle ajouté sur la BBC. Elle avait déjà gagné en 2017 une bataille juridique pour forcer le gouvernement, alors dirigé par Theresa May, à consulter le Parlement sur le processus de retrait. Un groupe d'environ 75 parlementaires pro-UE a de son côté demandé à la plus haute instance civile d'Ecosse d'être entendu en urgence dans l'attente d'une audience sur le fond le 6 septembre.

La plus haute juridiction civile d'Écosse a également tenu une audience provisoire jeudi à la suite d'une demande similaire présentée par un responsable politique du Scottish National Party (indépendantistes écossais). Trois actions en justice distinctes ont aussi été lancées à Belfast contre un éventuel Brexit sans accord, au motif que cela irait à l'encontre des accords de paix du Vendredi saint signés en 1998.
(...)

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/brexi ... s-20190829

[Hector]

Papibilou

Nous sommes d'accord, je tiens à rappeler qu'il faut se souvenir des responsables politiques qui furent favorables à l'adhésion du Royaume Uni à l'Union européenne.

Concernant le fait de devenir un satellite, tu n'ignores tout de même pas les proximités geostratégiques entre Angleterre et Etats Unis.

Qui sont celles de l'Otan d'ailleurs. Tu te fous de nous et nous sert des salades (je suis poli).

[wesker]

En quoi mes propos sont des salades Hector, hormis le fait qu'ils proviennent de quelqu'un qui n'a pas tes idées ?

Concernant le sujet, je constate que le Premier ministre refuse de se soumettre à des blocages de représentants qui, comme les parlementaires français, refusent de faire prévaloir le scrutin des citoyens, au profit de leurs idées.

[Jeff Van Planet]

force est de constater que les partisans d'une sortie de l'Europe le font par putsch. tu ne veux pas? et bien c'est simple: tu n'auras plus la parole!
une belle preuve de démocratie de la part de ces gens qui font usage du mensonge encore et encore.

[Spartiate]

On ne peut pas dire que les Britanniques n'ont pas été écoutés.

[Nolimits]

force est de constater que les partisans d'une sortie de l'Europe le font par putsch. tu ne veux pas? et bien c'est simple: tu n'auras plus la parole!
une belle preuve de démocratie de la part de ces gens qui font usage du mensonge encore et encore.

C'est bref, court, violent mais...c'est ça !