Yakiv a écrit : ↑01 déc. 2019, 00:45:27
L'épouse n'a pas été à même d'amener des preuves de cette supposée volonté à ma connaissance et surtout, elle donne un avis censé avoir été exprimé avant l'accident et donc pas devant le fait accompli.
Comme beaucoup d'affaires importantes, elles peuvent être jugées X fois, voire x+1 fois.
Non, il n'y avait pas décrit, parce que quand on est jeune, on ne pense pas à écrire. En revanche on peut en parler à son conjoint plutôt qu'à ses parents, ne serait ce que pour une question d'espérance de vie. De toutes façons, le point de vue des parents est basé avant tout sur la religion, et peut-être que le tien également : peu importe alors le point de vue du conjoint, voire même de celui qui est malade...
Et oui cette affaire a été jugée par toutes les juridictions possibles et en dernier ressort, sous tous les angles qu'ont pu trouver la famille et son avocat. Cet acharnement désormais post mortem connaîtra la même issue, sous la forme d'un non lieu, ou alors ils seront déboutés, mais il n'y aura probablement pas de procès.
C'est toujours hier que commence le futur, mais la France continue de penser que tout commence demain. (Boualem SANSAL)