He, she, his, her, him...
Alors certes, le pluriel, les adjectifs et les noms n'ont pas ce problème. Mais il y a quand même encore un genre.
He, she, his, her, him...
Oui voilà.Nombrilist a écrit : ↑21 nov. 2021, 12:15:41He, she, his, her, him...
Alors certes, le pluriel, les adjectifs et les noms n'ont pas ce problème. Mais il y a quand même encore un genre.
On a le droit de conserver les mots "de sexe masculin / féminin".Nombrilist a écrit : ↑21 nov. 2021, 12:33:01Si on supprime tout genre, il faudra pousser le raisonnement jusqu'au bout. Il n'y aura plus lieu de séparer hommes et femmes dans les compétitions sportives. Et là...
Il faut peut-être se faire une raison: le latin distingue le féminin et le masculin.
Effectivement, la distinction entre les mots féminins et masculins est assez artificielle... Mais c'est l'héritage de l'histoire : on ne va pas changer notre langue pour faire plaisir à quelques allumés qui ont des problèmes identitaires.
Question d'esthétique, peut-être. Perso, une pharmacienne, ça ne me choque pas. Par contre, j'ai déjà vu le terme "autrice" : je trouve ça très moche.Camille a écrit : ↑21 nov. 2021, 13:42:29D'ailleurs, il y a l'humoriste Loïc Suberville qui s'amuse de ces différences entre le français et l'anglais, notamment sur la question du genre :
- https://www.youtube.com/watch?v=ep81DqNaD84
- https://www.youtube.com/watch?v=HlbOiMb_u4s
Je ne pense pas que le français soit réformable à ce niveau-là. Par contre, l'Académie française est arbitraire dans ses décisions : selon elle, il est possible de dire "pharmacienne" mais pas "chirurgienne". Pourquoi ? Aucune idée. Au Québec, la féminisation des fonctions est intégrée depuis longtemps. En France, on a encore des députés qui font des bruits de poule quand une femme s'exprime et qui s'acharnent à dire "madame le ministre". Pas touche aux traditions...
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