Sondages élections présidentielles
Modifié en dernier par Golgoth le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
T'es vraiment kon François, fallait créer une SCI.
Oui,ce sont les intentions de vote,mais c'est loin d'être gagné les 4% qui ont fait passé sarko pourrait bien le refaire passer la levée de l'ISF va peser lourd dans la balance,tout ce qui vont en bénéficier ne voteront pas à gauche ou presque.
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- Nombrilist
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Sarko se fait même défoncer par Aubry. C'est dire !
Modifié en dernier par Nombrilist le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
Quoique...mais pour passer j'ai encore un gros doute pour Aubry et Ségolène...Cobalt a écrit :Si les voix des multis droite ne se reportent pas sur sarkosy,et que DSK ne se présente pas,on peut dire d'ors et déjà que le FN sera au second tour,les gens de droite ne voteront jamais Aubry,ni Royal.
Modifié en dernier par Cobalt le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
- Ilikeyourstyle
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Cà va mal pour SArko. Attendons de voir un sondage avec Fillon. icon_mrgreen
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- politicien
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Bonjour,
Les Français sont de plus en plus nombreux à rejeter l'idée d'une éventuelle candidature Sarkozy en 2012. Selon un sondage Ipsos pour l'hebdomadaire Le Point à paraître jeudi, ils sont 63% à souhaiter que le chef de l'Etat ne se représente pas, contre 34% qui le souhaitent et 3% sans opinion. En août 2010, selon un sondage du même institut, ils étaient 62% à ne pas vouloir que le président de la République brigue un second mandat, contre 35% qui y étaient favorables (3% de sans opinion).
En mars 2010, Ipsos comptait 58% de personnes défavorables à sa candidature contre 33% qui l'appelaient de leurs voeux (9% de sans opinion).
Dans le détail, les sympathisants UMP sont aujourd'hui 24% à ne pas souhaiter une candidature Sarkozy en 2012, contre 25% en août dernier (74% de favorables, équivalent à août). Sans surprise, ils sont 85% parmi les sympathisants PS (identique à août 2010).
Parmi les sympathisants du Front national, le nombre de personnes favorables à une nouvelle candidature du chef de l'Etat bondit de 8 points (43% contre 31% à la fin de l'été). A l'inverse, parmi les électeurs MoDem, ils ne sont plus que 34% à le souhaiter, contre 49% en août.
Qu'en pensez vous ?
A plus tard,
Les Français sont de plus en plus nombreux à rejeter l'idée d'une éventuelle candidature Sarkozy en 2012. Selon un sondage Ipsos pour l'hebdomadaire Le Point à paraître jeudi, ils sont 63% à souhaiter que le chef de l'Etat ne se représente pas, contre 34% qui le souhaitent et 3% sans opinion. En août 2010, selon un sondage du même institut, ils étaient 62% à ne pas vouloir que le président de la République brigue un second mandat, contre 35% qui y étaient favorables (3% de sans opinion).
En mars 2010, Ipsos comptait 58% de personnes défavorables à sa candidature contre 33% qui l'appelaient de leurs voeux (9% de sans opinion).
Dans le détail, les sympathisants UMP sont aujourd'hui 24% à ne pas souhaiter une candidature Sarkozy en 2012, contre 25% en août dernier (74% de favorables, équivalent à août). Sans surprise, ils sont 85% parmi les sympathisants PS (identique à août 2010).
Parmi les sympathisants du Front national, le nombre de personnes favorables à une nouvelle candidature du chef de l'Etat bondit de 8 points (43% contre 31% à la fin de l'été). A l'inverse, parmi les électeurs MoDem, ils ne sont plus que 34% à le souhaiter, contre 49% en août.
Qu'en pensez vous ?
A plus tard,
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« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire »
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- Ilikeyourstyle
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J'en pense que Sarkozy doir réfléchir à se retirer à l'ile de Ré avec l'autre ...
C'est cuit pour lui, il est frappé d'impopularité par un phénomène simple: le désamour du peuple envers une certaine façon d'être, de vivre, de se comporter et de parler.
Une candidature de Sarkozy serait une erreur; le seul d'entre nous qui pourrait peut-être encore gagner est Fillon.
C'est cuit pour lui, il est frappé d'impopularité par un phénomène simple: le désamour du peuple envers une certaine façon d'être, de vivre, de se comporter et de parler.
Une candidature de Sarkozy serait une erreur; le seul d'entre nous qui pourrait peut-être encore gagner est Fillon.
Modifié en dernier par Ilikeyourstyle le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
Présidentielle 2012
18 février 2011, 08h14
DSK devant Sarkozy dans un sondage exclusif
Un « 21 avril à l’envers » n’est pas exclu en 2012, selon le sondage exclusif mené par l’Ifop les 16 et 17 février pour France-Soir.
Un « 21 avril à l’envers » n’est pas exclu en 2012. Autrement dit, un second tour qui opposerait Dominique Strauss-Kahn à Marine Le Pen MaxPPP
Autrement dit, un second tour qui opposerait Dominique Strauss-Kahn, s’il est bien le candidat du PS, à… Marine Le Pen. On se souvient qu’en 2002, à la stupéfaction générale, le second tour, après l’élimination de Lionel Jospin, avait opposé Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen.
En l’état, comme l’indique notre tableau de résultats, le second tour opposerait DSK (crédité de 26 % des intentions de vote au premier tour) à Nicolas Sarkozy (22 %). Mais, avec 19 % des intentions de vote au premier tour (et même 20 % si le candidat du PS était Martine Aubry), Marine Le Pen, qui atteint un score jamais obtenu sous la Ve République à cette distance de l’élection par un candidat d’extrême droite, talonne l’actuel chef de l’Etat, dont les positions s’effritent.Bref, mathématiquement et politiquement, tous les scénarios deviennent possibles. Il faut évidemment tenir compte de plusieurs facteurs : la campagne officielle n’est pas ouverte ; le candidat du PS (pour ne parler que de lui) n’est pas officiellement choisi, et reste donc virtuel ; dans la liste figurent des candidats qui n’iront peut-être pas jusqu’au bout (le centriste Morin, Dominique de Villepin) ou qui pourraient être remplacés (Eva Joly qui voit poindre à l’horizon la silhouette de Nicolas Hulot). Et puis il y a ceux qui n’ont pas dit leur dernier mot : un Borloo par exemple, voire un Fillon. Le scrutin aura lieu dans quatorze mois et, d’ici là, il s’en passera des choses !
Même la gauche s’inquiète
Il reste que l’enquête de l’Ifop a de quoi inquiéter – et même affoler – l’Elysée. Jusqu’ici le socle sarkozyste avait tenu bon : il s’effrite.
Jusqu’ici la candidate du Front national, jugée aujourd’hui fréquentable quand son père ne l’était pas, était prise au sérieux, sans plus : la voici qui impose ses thèmes, et se pose en arbitre, voire en possible finaliste. Jusqu’ici Nicolas Sarkozy était le candidat « naturel » de la droite, et n’était contesté qu’à voix basse : ça pourrait changer si les parlementaires, qui redoutent déjà les cantonales de mars, ont maintenant le sentiment que leur champion n’est plus forcément l’homme de la situation.
Le sondage de l’Ifop est a priori plus rassurant pour une gauche dispersée, mais qui voit DSK conduire le bal. Pourtant, tout cela n’est pas mirifique. Dans un sondage Ifop mené les 18 et 19 novembre 2010 pour Paris-Match, Strauss-Kahn n’était-il pas crédité à l’époque de 29 % des intentions de vote (et Marine Le Pen de 13 %) ? Autant dire qu’à la faveur de la crise le sol bouge sous le pas de tous – sans exception – et que surgissent de géantes crevasses.
Sondage mené par l’Ifop pour France-Soir les 16 et 17 février 2011 auprès d’un échantillon national représentatif de 1.068 personnes âgées de 18 ans et plus. Méthode des quotas.
Et ce n'est pas les gens de gauche qui vont faire gonfler l'électorat de marine mais la droite sarko qui n'osait pas jusqu'ici aller jusque là encore.
18 février 2011, 08h14
DSK devant Sarkozy dans un sondage exclusif
Un « 21 avril à l’envers » n’est pas exclu en 2012, selon le sondage exclusif mené par l’Ifop les 16 et 17 février pour France-Soir.
Un « 21 avril à l’envers » n’est pas exclu en 2012. Autrement dit, un second tour qui opposerait Dominique Strauss-Kahn à Marine Le Pen MaxPPP
Autrement dit, un second tour qui opposerait Dominique Strauss-Kahn, s’il est bien le candidat du PS, à… Marine Le Pen. On se souvient qu’en 2002, à la stupéfaction générale, le second tour, après l’élimination de Lionel Jospin, avait opposé Jacques Chirac à Jean-Marie Le Pen.
En l’état, comme l’indique notre tableau de résultats, le second tour opposerait DSK (crédité de 26 % des intentions de vote au premier tour) à Nicolas Sarkozy (22 %). Mais, avec 19 % des intentions de vote au premier tour (et même 20 % si le candidat du PS était Martine Aubry), Marine Le Pen, qui atteint un score jamais obtenu sous la Ve République à cette distance de l’élection par un candidat d’extrême droite, talonne l’actuel chef de l’Etat, dont les positions s’effritent.Bref, mathématiquement et politiquement, tous les scénarios deviennent possibles. Il faut évidemment tenir compte de plusieurs facteurs : la campagne officielle n’est pas ouverte ; le candidat du PS (pour ne parler que de lui) n’est pas officiellement choisi, et reste donc virtuel ; dans la liste figurent des candidats qui n’iront peut-être pas jusqu’au bout (le centriste Morin, Dominique de Villepin) ou qui pourraient être remplacés (Eva Joly qui voit poindre à l’horizon la silhouette de Nicolas Hulot). Et puis il y a ceux qui n’ont pas dit leur dernier mot : un Borloo par exemple, voire un Fillon. Le scrutin aura lieu dans quatorze mois et, d’ici là, il s’en passera des choses !
Même la gauche s’inquiète
Il reste que l’enquête de l’Ifop a de quoi inquiéter – et même affoler – l’Elysée. Jusqu’ici le socle sarkozyste avait tenu bon : il s’effrite.
Jusqu’ici la candidate du Front national, jugée aujourd’hui fréquentable quand son père ne l’était pas, était prise au sérieux, sans plus : la voici qui impose ses thèmes, et se pose en arbitre, voire en possible finaliste. Jusqu’ici Nicolas Sarkozy était le candidat « naturel » de la droite, et n’était contesté qu’à voix basse : ça pourrait changer si les parlementaires, qui redoutent déjà les cantonales de mars, ont maintenant le sentiment que leur champion n’est plus forcément l’homme de la situation.
Le sondage de l’Ifop est a priori plus rassurant pour une gauche dispersée, mais qui voit DSK conduire le bal. Pourtant, tout cela n’est pas mirifique. Dans un sondage Ifop mené les 18 et 19 novembre 2010 pour Paris-Match, Strauss-Kahn n’était-il pas crédité à l’époque de 29 % des intentions de vote (et Marine Le Pen de 13 %) ? Autant dire qu’à la faveur de la crise le sol bouge sous le pas de tous – sans exception – et que surgissent de géantes crevasses.
Sondage mené par l’Ifop pour France-Soir les 16 et 17 février 2011 auprès d’un échantillon national représentatif de 1.068 personnes âgées de 18 ans et plus. Méthode des quotas.
Et ce n'est pas les gens de gauche qui vont faire gonfler l'électorat de marine mais la droite sarko qui n'osait pas jusqu'ici aller jusque là encore.
Modifié en dernier par Cobalt le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
- wesker
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- Enregistré le : 18 mai 2009, 00:00:00
- Localisation : Proche de celles et ceux qui vivent dans le pays réel
Cette enquête démontre s'il en était besoin que Sarkozy n'est pas le champion qui conduira la droite au succès. Mais je crois que d'ici l'échéance il se passera beaucoup de choses !
Modifié en dernier par wesker le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
- Lucas
- Messages : 7289
- Enregistré le : 30 janv. 2011, 00:00:00
- Parti Politique : Les Républicains (LR)
Ilike quand tu dis que tu attends cela avec impatience, tu pense que Bayrou appellera à voter le candidat de droite ? 2012 c'est encore loin il peut être le 3ème homme ou le 2ème qui sait, s'il fait une bonne campagne.Moi, il y en a un que j'attend avec impatience, c'est Bayrou, que va t'il faire parce que là il est à 7% dans les sondages et un coup de malchance il se retrouve à 4% au soir du 1er tour et là adieu Berthe, fini le Modem. Madelin ou de Villiers ne se sont jamais remis de telles gamelles.
Modifié en dernier par Lucas le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
- Nombrilist
- Messages : 63371
- Enregistré le : 08 févr. 2010, 00:00:00
Mais moins qu'à droite !
Modifié en dernier par Nombrilist le 17 mars 2010, 22:04:00, modifié 1 fois.
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