Le PS

[wesker]

La FED agit et adapte sa politique monétaire en fonction des objectifs budgétaires, économiques fixés par le gouvernement américain, la banque du Japon fait de même, la BCE ne dispose pas des moyens d'en faire autant à la fois en raison des traités que les pays signataires ont ratifié, mais aussi par les objectifs restrictifs qui lui sont fixés en terme de masse monétaire.

Dès lors, si l'on souhaite participer à une compétition, il faut être doté des mêmes outils que les autres compétiteurs avec lesquels, souvent, nous sommes partenaires économiques ou commerciaux.

[albert]

Tricherie en bande organisée.

Le PS ne fait pas mieux que l'UMP... Nous vivons dans une pseudo démocratie où les partis qui la font vivre n'ont aucune culture démocratique. Grave.

[wesker]

C'est la raison pour laquelle ils ne respectent et ne cessent de s'éloigner d'un peuple qui, du seul fait qu'il dispose du droit de vote dérange le petit cercle des gouvernants qui imposent le bonheur au peuple contre sa volonté.

[Nico37]

Pour se faire entendre de Hollande, Collomb lance son think tank Arthur Nazaret 18/06

Depuis un appartement du Sénat, le maire de Lyon a lancé mardi, son think tank auquel il faut encore trouver un nom. Se voulant "social-réformiste", Gérard Collomb s’organise pour peser.

Le déjeuner de lancement a eu lieu, les participants - économistes et politiques - étaient là, ne reste plus à Gérard Collomb qu’à trouver un nom pour son think tank. "Quelques idées d’avance, ça serait un beau nom", réfléchit à haute voix le sénateur-maire.

(...)

[politicien]

Bonjour,

Des journées parlementaires socialistes à Bordeaux. "Pourquoi Bordeaux ? Alors qu'on est tous à Paris ?" s'interroge l'un des rares parlementaires à avoir fait le déplacement dans la capitale girondine. Hier, dans le vaste amphithéâtre du Palais des congrès, les élus se comptaient : ils étaient moins de 20 députés et 3 sénateurs à écouter Manuel Valls, Christiane Taubira, Marylise Lebranchu exposer leurs problématiques, aux côtés des présidents de la commission des Lois de l'Assemblée (Jean-Jacques Urvoas) et du Sénat (Jean-Pierre Sueur). Comme d'habitude, les ministres de l'Intérieur et de la Justice, chien et chat du gouvernement, ont chacun proclamé leur amitié mutuelle, avant de présenter, chacun, leur conception radicalement opposée de la politique pénale.

L'assiduité n'était pas meilleure côté gouvernement : Pierre Moscovici, le ministre de l'Économie, s'est décommandé, et Bernard Cazeneuve, celui du Budget, a abrégé pour prendre un train plus vite... Le coût de ces journées parlementaires est censé être pris en charge par le groupe PS, présidé par l'inénarrable Bruno Le Roux, relais officiel de la Hollandie. Mais le coût du déplacement des ministres présents demeure à la charge de leurs ministères... Bref, tout ce déplacement pour améliorer le dialogue entre le gouvernement et le Parlement a été jugé absolument inutile en cette période de disette.

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L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

Qu'en pensez vous ?

[politicien]

Bonjour,

Cécile Duflot avait laissé parler sa colère jeudi. Les propos de Manuel Valls sur les Roms ? Une attaque contre "le pacte républicain", rien de moins, avait tonné à Angers la ministre du Logement. Alors, on pouvait s'attendre à de la fureur samedi. À en juger par la liste des invités à l'université de rentrée du courant Un monde d'avance - à gauche du PS -, les murs de la halle des sports de Vieux-Boucau, dans les Landes, auraient dû trembler. Et les oreilles du ministre de l'Intérieur auraient dû siffler. Il n'en fut rien, ou si peu. Tous savent que François Hollande soutient en privé Manuel Valls. La partie est donc très délicate et les anti-Valls ont choisi de jouer en retrait.

Avant le déjeuner, c'est le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg qui investit la scène. Puis le ministre délégué à l'Économie sociale et solidaire, leader du courant hôte, Benoît Hamon et la ministre de la Justice Christiane Taubira défilent au pupitre. Ils forment tous les trois, avec Cécile Duflot, une bande d'amis qui aiment se retrouvent pour dîner et disserter en privé sur les doutes qu'ils ne peuvent clamer en public.

La politique économique trop rigoureuse de leur gouvernement les inquiète. Le rapport de la France à l'Allemagne, à l'Europe, les préoccupe. "La France n'a pas une destinée de soumission", dit à ce sujet Arnaud Montebourg. Quant aux sorties coups de poing et à très fort potentiel médiatique de Manuel Valls, elles les exaspèrent sur la forme comme sur le fond.

"Des formes de transgression qui ne me plaisent pas"
11 h 30. Arnaud Montebourg arrive, décontracté, en tenue estivale : jean baggy et chemise blanche. Après un café "made in les Landes", partagé avec le député local Henri Emmanuelli, et quelques bises aux militantes, le ministre monte à la tribune. Son discours, exclusivement économique, vise à faire la promotion de l'action gouvernementale qu'il mène avec son équipe, eux, les "rénovateurs du quotidien". Montebourg avait été le premier à réclamer que Manuel Valls "corrige" ses propos sur les Roms. Sans succès. À Vieux-Boucau, ce n'est pas son sujet.

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L'intégralité de cet article à lire sur Le Point.fr

[wesker]

Collomb souhaite, clairement abandonné les classes populaires pour s'assumer social libéral et tenter de convaincre les classes moyennes. Il estime ainsi que cette position sera plus efficace, pour son parti de remporter des élections, parvenant à attirer certains électeurs de droite tout en s'assurant d'un bon report de voix des électeurs du front de gauche qui seront toujours contraints de choisir le moins pire, étant entendu que, par l'hésitation et l'orientation néo libérale et conservatrice de l'UMP l'espace est conséquent. Ce n'est là que du calcul électoral même si, depuis déjà longtemps le maire de Lyon plaide pour cette orientation stratégique et idéologique

[Nico37]

Bilan de François Hollande : " 20 % de gauche et 80 % de Medef " selon Gérard Filoche (PS) 30/09

Depuis des années, Gérard Filoche parcourt la France pour promouvoir ses idées. Ce lundi, il fera étape à Guéret. Au programme : la défense des retraites, la redistribution des richesses, l’Europe et bien sûr le droit du travail. Interview.
«La dette justifie-t-elle le recul du droit du travail? », s’interrogera ce lundi soir Gérard Filoche à la mairie de Guéret. Cet ancien inspecteur du travail, membre du bureau national du PS, sera l’invité d’Attac 23. Militant de la gauche du Parti socialiste, il parcourt la France pour défendre ses idées. À 20h30, il sera surtout question des retraites et de la répartition des richesses. En début d’année, Gérard Filoche, bien connu pour sa verve, s’est opposé à l’ANI, à l’Accord national interprofessionnel, qui a débouché sur la loi du 14 juin.

(...)

[wesker]

Ces personnalités, sans doute sincères, seront émues de l'accord national interprofessionnel, de la brèche sur la remise en cause du repos dominical, sur l'austérité en matière de retraites et demain d'autres reculs encore qui, loin de réduire les déficits, ne font avec la fiscalité confiscatoire et excessive que pénaliser les initiatives dissuader les entreprises à investir et donc à embaucher et pénalise gravement le pouvoir d'achat ce qui se traduit directement par une augmentation du chômage, et ce en dépit du coût des emplois aidés qui devraient permettre d'atténuer cette hausse mais qui pénalise l'avenir à moyen terme.

[Nombrilist]

Des hypocrites tous ces gens là. Ils servent de rabatteurs à électeurs pour le nouveau parti de droite (anciennement appelé PS).

[wesker]

Il y a, au sein du PS, de nombreuses forces qui assument le fait de vouloir transformer le PS en PSD, pour le rapprocher des positions allemandes. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour les électeurs populaires qui vécurent, sous la gauche allemande, la remise en cause des indemnisations chômage, le recul de l'âge de départ à la retraite, la mise en oeuvre d'une flexibilité et d'une précarité sévère, l'instauration des mini jobs...que la droite n'aurait osé imaginé, même en France.

Dès lors les convergences entre le PS et la droite sont plus qu'évidentes, ils pratiquent une politique visant à pouvoir exister au sein d'une mondialisation sauvage et illusoire, reposant sur des idées fausses et périmées datant de Smith et de Ricardo. N'est il pas temps, au vu de la détérioration de la situation, pour le plus grand nombre, de réinvener, de construire un nouveau modèle économique ?

[Ramdams]

Dominique Bertinotti, ministre et malade du cancer

Elle n'a rien dit. Ni au premier ministre, Jean-Marc Ayrault, ni à sa ministre de tutelle, Marisol Touraine, ni à aucun des membres du gouvernement. Après sa première séance de chimiothérapie, le 2 mars, elle a juste demandé un rendez-vous "pour raison personnelle" à François Hollande. A l'Elysée, elle s'est contentée de peu de mots : "J'ai un cancer. Je suis entrée dans une phase de traitement. Je souhaite que cela reste strictement entre nous." Le président de la République ne s'est pas épanché. "Tu fais le choix que tu souhaites devoir faire pour toi. Tu choisis le silence et je le respecterai." Le président et la ministre déléguée à la famille ont enchaîné sur l'agenda politique. La loi sur le mariage pour tous qui allait passer au Sénat. Le mouvement de contestation qui s'amplifiait.

Dominique Bertinotti va bientôt enlever la perruque qu'elle porte depuis plus de huit mois. On verra d'un coup ses cheveux très courts. Elle vient d'effectuer cette semaine une dernière séance de radiothérapie avant "la quille", comme elle dit avec une volupté soudaine. Elle avait choisi le silence, elle fait tomber le masque.

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[wesker]

C'est courageux de sa part et cela mérite le respect. Cela étant, peut être devrait elle songer à se préoccuper de sa santé plutôt que de s'accrocher à un mandat ministériel au sein d'une équipe qui, finalement apporte peu de satisfaction, pour des citoyens qui, je le crois, s'attendaient et espéraient autre chose !

[wesker]

C'est courageux de sa part et cela mérite le respect. Cela étant, peut être devrait elle songer à se préoccuper de sa santé plutôt que de s'accrocher à un mandat ministériel au sein d'une équipe qui, finalement apporte peu de satisfaction, pour des citoyens qui, je le crois, s'attendaient et espéraient autre chose !

[Ramdams]

Le comble aurait été qu'elle fût ministre de la Santé. Cela aurait pu changer la vision que le gouvernement a de ce sujet... l'action de Marisol Touraine est catastrophique.