Mais que veulent dire les statistiques présentées, si ce n'est qu'un véhicule à l'arrêt court moins de risque que quand il est en mouvement icon_biggrin
Rien.
Retirons les accidents graves provoqués par l'alcool ou la drogue, et il n'en restera pas la moitié !
Le reste vient toujours d'un défaut d'appréciation (endormissement, fatigue, ou mauvais conducteur tout simplement). Et cette catégorie augmente au fur et à mesure où la vitesse devient ... soporifique !
Ce qu'il faudrait, c'est modifier totalement les épreuves du permis de conduire (dérappage contrôlé, freinage d'urgence, sol glissant etc).
Expérience comique cet hiver : mon mari et moi rentrons par une petite route à deux bandes fort fréquentées, et sur laquelle un grosse averse de neige viennt de tomber. La pagaille.
Nous rangeons la voiture, enfilons nos bottes, et allons en aval pour tenter de déboucher la route. ous avos totalisé ... 42 voitures dont les coducteurs étaient incapables de bouger sans patiner !!! 42 conducteurs qui nous ont successivement cédé leur volant, pour que nous manoeuvrions leur engin, ce qui allait tout seul quand on sait conduire

MdR. Mais je frémis en resongeant à cette expérience, et à l'infernale médiocrité des gens auxquels on donne le permis de conduire !